Ally Coulibaly, le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, présidant la Table ronde sur le souvenir du 11 avril 2011, a déclaré, vendredi, que cette date « symbolise la fin d’un long cauchemar » en Côte d’Ivoire avec la chute du régime de Laurent Gbagbo dont le parti fait de la « surenchère en manipulant les faits ».
« Le devoir de mémoire, 3 ans après la crise postélectorale : contribution et témoignages », tel est le thème central de cette table ronde initiée, vendredi, par le Rassemblement des enseignements républicains (RER), une structure spécialisée du Rassemblement des Républicains (RDR, parti au pouvoir).
Président de la Table ronde, le ministre Ally Coulibaly a qualifié de « fin d’un long cauchemar » la date du 11 avril, avec l’arrestation de l’ancien chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, qui, refusant de céder le pouvoir au Président élu, Alassane Ouattara, s’était retranché dans son « bunker » d’où il a été extrait par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire appuyées par les forces onusiennes à l’issue d’une crise postélectorale ayant fait 3000 morts.
« Aucune famille, aucune couche sociale n’a été épargnée » a rappelé M. Coulibaly favorable à la réconciliation mais « la justice d’abord », dénonçant un « procès en sorcellerie » de ceux qui parlent de « justice des vainqueurs ».
« C’est un procès en sorcellerie qui n’a aucun fondement car les victimes ont droit à la justice. On ne peut pas réclamer la liberté des uns et demander l’arrestation des autres » a-t-il poursuivi, reconnaissant « la détente et l’apaisement du climat général ».
Pour Ally Coulibaly, le devoir de mémoire concerne tous les Ivoiriens mais plus les jeunes. « En un mot comme en mille, nous ne devons pas oublier » a-t-il conseillé.
« Ceux de nos frères du FPI persistent à pratiquer la surenchère en manipulant les faits. Malgré tout le mal qu’ils ont fait au pays, ils sont inaccessibles au remords» a, encore, dénoncé, le ministre Ally Coulibaly, invitant les enseignants du RDR à être des « pédagogues de la réconciliation ».
Plusieurs enseignants chercheurs animent les sous-thèmes de cette table ronde parrainée par le ministre de l’éducation nationale et de l’enseignement technique Kandia Camara.
« Le devoir de mémoire, 3 ans après la crise postélectorale : contribution et témoignages », tel est le thème central de cette table ronde initiée, vendredi, par le Rassemblement des enseignements républicains (RER), une structure spécialisée du Rassemblement des Républicains (RDR, parti au pouvoir).
Président de la Table ronde, le ministre Ally Coulibaly a qualifié de « fin d’un long cauchemar » la date du 11 avril, avec l’arrestation de l’ancien chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, qui, refusant de céder le pouvoir au Président élu, Alassane Ouattara, s’était retranché dans son « bunker » d’où il a été extrait par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire appuyées par les forces onusiennes à l’issue d’une crise postélectorale ayant fait 3000 morts.
« Aucune famille, aucune couche sociale n’a été épargnée » a rappelé M. Coulibaly favorable à la réconciliation mais « la justice d’abord », dénonçant un « procès en sorcellerie » de ceux qui parlent de « justice des vainqueurs ».
« C’est un procès en sorcellerie qui n’a aucun fondement car les victimes ont droit à la justice. On ne peut pas réclamer la liberté des uns et demander l’arrestation des autres » a-t-il poursuivi, reconnaissant « la détente et l’apaisement du climat général ».
Pour Ally Coulibaly, le devoir de mémoire concerne tous les Ivoiriens mais plus les jeunes. « En un mot comme en mille, nous ne devons pas oublier » a-t-il conseillé.
« Ceux de nos frères du FPI persistent à pratiquer la surenchère en manipulant les faits. Malgré tout le mal qu’ils ont fait au pays, ils sont inaccessibles au remords» a, encore, dénoncé, le ministre Ally Coulibaly, invitant les enseignants du RDR à être des « pédagogues de la réconciliation ».
Plusieurs enseignants chercheurs animent les sous-thèmes de cette table ronde parrainée par le ministre de l’éducation nationale et de l’enseignement technique Kandia Camara.