Pour la première édition du festival international de pâques pour rêve d’enfant, bouldegum Côte d’Ivoire s’invite dans les Jardins de l’hôtel du golf les 19 20 et 21 avril 2014. Pendant 3 jours, artistes de renommée nationale et internationale se produiront sur plusieurs scènes. Rokya Dongossi, Une femme active sur le plan professionnel et associatif, actrices de spectacles de marionnettes et d’animations, présidente du comité d’organisation, nous livre les clés d’une action culturelle réussie.
Pourquoi organiser maintenant un festival de pâques pour jeune public ?
Apres 20ans d’expérience, et plus de 300 fêtes organisées chaque année par bouldegum Côte d’Ivoire au profit des enfants Il était temps de doter la Côte d’Ivoire d’un festival international pour jeune public.Bouldegum, c’est deux entités, d’un coté une compagnie théâtrale pour les spectacles dans les écoles et l’animation des fêtes d’entreprises et l’autre un festival rêves d’enfants alliant spectacles et animations.Toujours à l’affût de ce qui se passe en Côte d’Ivoire sur le plan culturel et convaincue de l’intérêt et de l’enrichissement que peuvent apporter de telles expériences à tous les enfants, nous voulons avec ce festivalaborder l’art avec eux musique, danse, conte, spectacle, peinture,pour leur permettre de développer l’imaginaire, l’écoute, qui favorisent l’ouverture sur le monde extérieur et contribuent à la construction de leur personnalité, leur ouvrent l’horizon sur différentes manières de penser, de comprendre la vie et de l’appréhender.
Quel est l’objectif et le but de ce festival
Pendant trois jours de spectacles, Le Festival International rêve d’enfant réunira les meilleurs animateurs, conteurs, marionnettistes, mais également les meilleurs animateurs de spectacles de clowns, de magie de l’Italie, de France, et de la Belgique,d’Afrique et de la Côte d’Ivoire. Tous ces artistes vont faire découvrir au public, la richesse artistique de cette forme de spectacle qui allie tant de moyens d’expression afin de faire renaitre le rêve chez l’enfant, le célébrer dans sa dimension artistique et culturelle. Créer t un éveil, artistique, contribuer au développement de leurs potentialités et l’accès aux apprentissages.
Sur quels critères effectuez-vous votre sélection ?
Nous avons effectué notre sélection sur des critères plus subjectifs de goût, ce que peuvent aimer les enfants, du goût des gens qui composent notre comité de visionnage et qui établissent des fiches de sélections, un résumé de toutes les sensibilités et de toutes les cultures. Nous voulons par la multiplicité des propositions artistiques offertes sur un festival, leur donner a écouté les bruissements de l’univers sensible, de la gaieté de l’émotion, de la fraicheur et de la tendresse une première année à nos côtes pour rêver, ce qui permettra à chaque enfant d’en sortir un peu grandi, un peu plus ouvert aux autres un peu plus conscient des différences qui font la richesse de notre société, leur dire qu’ il existe encore des lieux qui sollicitent l’imaginaire ,la sensibilité, la créativité.
Comment s’opère la programmation ?
Quelques mois à l’avance, une équipe se déplace dans des festivals à l’étranger. Nous avons aussi des correspondants dans de nombreux pays comme le Burkina Faso, le Togo, le Niger, le Bénin, la Belgique, la France, la Suède et l’Italie qui nous envoient des informations. Pour la 2èmè édition, nous envisageons ouvrir un réseau d’inscription sur internet. Ces différentes animations seront offertes au public en simultané tout au long de la journée afin que chacun puisse aller et venir au gré de ses envies. Une dizaine de spectacles mêlant de multiples types d’arts vivants théâtre, danse, cirque, ventriloque, marionnettes, contes, magies, des ateliers créatifs et d’expression mais aussi , des jeux avec des structures musicales , gonflables et un bibliobus pour les enfants qui voudront se familiariser avec les livres toute la durée du festival.
Au niveau du financement avez-vous eu des aides ?
On dit souvent que le nerf de la guerre c’est l’argent et c’est là que nous rencontrons d’énormes difficultés .Sans rentrer dans les détails des chiffres, il ya néanmoins quelques partenaires qui nous accompagnent. Pour l’avenir nous recherchons un mécène c’est pourquoi je lance un appel aux industries agroalimentaires de s’approprier le Festival, car le FIPRE c’est 3500 enfants environs réunis au même moment et au même endroit, une excellente visibilité pour ces entreprises et un excellent moyen de retrouver une plate forme de communication, de marketing direct pour leurs produits.Un véritable tremplin pour les producteurs et les transformateurs locaux.
Entretien réalisé par André K. de(Les Echos du)FIPRE
Pourquoi organiser maintenant un festival de pâques pour jeune public ?
Apres 20ans d’expérience, et plus de 300 fêtes organisées chaque année par bouldegum Côte d’Ivoire au profit des enfants Il était temps de doter la Côte d’Ivoire d’un festival international pour jeune public.Bouldegum, c’est deux entités, d’un coté une compagnie théâtrale pour les spectacles dans les écoles et l’animation des fêtes d’entreprises et l’autre un festival rêves d’enfants alliant spectacles et animations.Toujours à l’affût de ce qui se passe en Côte d’Ivoire sur le plan culturel et convaincue de l’intérêt et de l’enrichissement que peuvent apporter de telles expériences à tous les enfants, nous voulons avec ce festivalaborder l’art avec eux musique, danse, conte, spectacle, peinture,pour leur permettre de développer l’imaginaire, l’écoute, qui favorisent l’ouverture sur le monde extérieur et contribuent à la construction de leur personnalité, leur ouvrent l’horizon sur différentes manières de penser, de comprendre la vie et de l’appréhender.
Quel est l’objectif et le but de ce festival
Pendant trois jours de spectacles, Le Festival International rêve d’enfant réunira les meilleurs animateurs, conteurs, marionnettistes, mais également les meilleurs animateurs de spectacles de clowns, de magie de l’Italie, de France, et de la Belgique,d’Afrique et de la Côte d’Ivoire. Tous ces artistes vont faire découvrir au public, la richesse artistique de cette forme de spectacle qui allie tant de moyens d’expression afin de faire renaitre le rêve chez l’enfant, le célébrer dans sa dimension artistique et culturelle. Créer t un éveil, artistique, contribuer au développement de leurs potentialités et l’accès aux apprentissages.
Sur quels critères effectuez-vous votre sélection ?
Nous avons effectué notre sélection sur des critères plus subjectifs de goût, ce que peuvent aimer les enfants, du goût des gens qui composent notre comité de visionnage et qui établissent des fiches de sélections, un résumé de toutes les sensibilités et de toutes les cultures. Nous voulons par la multiplicité des propositions artistiques offertes sur un festival, leur donner a écouté les bruissements de l’univers sensible, de la gaieté de l’émotion, de la fraicheur et de la tendresse une première année à nos côtes pour rêver, ce qui permettra à chaque enfant d’en sortir un peu grandi, un peu plus ouvert aux autres un peu plus conscient des différences qui font la richesse de notre société, leur dire qu’ il existe encore des lieux qui sollicitent l’imaginaire ,la sensibilité, la créativité.
Comment s’opère la programmation ?
Quelques mois à l’avance, une équipe se déplace dans des festivals à l’étranger. Nous avons aussi des correspondants dans de nombreux pays comme le Burkina Faso, le Togo, le Niger, le Bénin, la Belgique, la France, la Suède et l’Italie qui nous envoient des informations. Pour la 2èmè édition, nous envisageons ouvrir un réseau d’inscription sur internet. Ces différentes animations seront offertes au public en simultané tout au long de la journée afin que chacun puisse aller et venir au gré de ses envies. Une dizaine de spectacles mêlant de multiples types d’arts vivants théâtre, danse, cirque, ventriloque, marionnettes, contes, magies, des ateliers créatifs et d’expression mais aussi , des jeux avec des structures musicales , gonflables et un bibliobus pour les enfants qui voudront se familiariser avec les livres toute la durée du festival.
Au niveau du financement avez-vous eu des aides ?
On dit souvent que le nerf de la guerre c’est l’argent et c’est là que nous rencontrons d’énormes difficultés .Sans rentrer dans les détails des chiffres, il ya néanmoins quelques partenaires qui nous accompagnent. Pour l’avenir nous recherchons un mécène c’est pourquoi je lance un appel aux industries agroalimentaires de s’approprier le Festival, car le FIPRE c’est 3500 enfants environs réunis au même moment et au même endroit, une excellente visibilité pour ces entreprises et un excellent moyen de retrouver une plate forme de communication, de marketing direct pour leurs produits.Un véritable tremplin pour les producteurs et les transformateurs locaux.
Entretien réalisé par André K. de(Les Echos du)FIPRE