Abidjan, La reforme du système pénitentiaire ivoirien fait l'objet d'un atelier organisé, jeudi, à Abidjan par le comité international de la Croix rouge (CICR) en collaboration avec le ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques.
A l'ouverture des travaux, le directeur de cabinet du ministre de la justice, Abo Kadjo Fodjo, a énuméré les reformes en vue. Il s'agit de la construction de nouveaux établissements pénitentiaires offrant de meilleures garanties de sécurité et de commodités conformes aux normes internationales, la revue à la hausse du coût de la ration alimentaire des prisonniers qui est passée de 175 fcfa à 400 fcfa par jour et la création de fermes agro-pastorales pour subvenir aux besoins alimentaires des détenus.
A l’ouverture de l’atelier sur la gestion des prisons, le directeur de cabinet a promis que des efforts supplémentaires seront consentis par le gouvernement pour l’amélioration des conditions de détention des prisonniers, et nourrit l’espoir quant à la réalisation d’actions spécifiques qui concourront à la réinsertion sociale des pensionnaires.
"Si nous parvenons à réaliser des actions spécifiques dans le cadre de la mise en œuvre du plan de reforme et de modernisation élaborés, de meilleures conditions des détenus et leur réinsertion sociale seront assurées", a confié M. Abo Kadjo, promettant que l’Etat ne ménagera aucun effort pour donner une suite favorable aux résolutions du séminaire de renforcement des capacités des régisseurs des prisons sur les "aspects budgétaires, santé, surveillance alimentation et hygiène".
C’est un atelier de deux jours organisé par le comité international de la Croix-Rouge (CICR) en collaboration avec le ministère de la justice en vue de favoriser l’échange entre les régisseurs et les différents intervenants pour la mise en œuvre de solutions concrètes, pratiques et adaptées aux problèmes identifiés.
(AIP)
fmo/ask
A l'ouverture des travaux, le directeur de cabinet du ministre de la justice, Abo Kadjo Fodjo, a énuméré les reformes en vue. Il s'agit de la construction de nouveaux établissements pénitentiaires offrant de meilleures garanties de sécurité et de commodités conformes aux normes internationales, la revue à la hausse du coût de la ration alimentaire des prisonniers qui est passée de 175 fcfa à 400 fcfa par jour et la création de fermes agro-pastorales pour subvenir aux besoins alimentaires des détenus.
A l’ouverture de l’atelier sur la gestion des prisons, le directeur de cabinet a promis que des efforts supplémentaires seront consentis par le gouvernement pour l’amélioration des conditions de détention des prisonniers, et nourrit l’espoir quant à la réalisation d’actions spécifiques qui concourront à la réinsertion sociale des pensionnaires.
"Si nous parvenons à réaliser des actions spécifiques dans le cadre de la mise en œuvre du plan de reforme et de modernisation élaborés, de meilleures conditions des détenus et leur réinsertion sociale seront assurées", a confié M. Abo Kadjo, promettant que l’Etat ne ménagera aucun effort pour donner une suite favorable aux résolutions du séminaire de renforcement des capacités des régisseurs des prisons sur les "aspects budgétaires, santé, surveillance alimentation et hygiène".
C’est un atelier de deux jours organisé par le comité international de la Croix-Rouge (CICR) en collaboration avec le ministère de la justice en vue de favoriser l’échange entre les régisseurs et les différents intervenants pour la mise en œuvre de solutions concrètes, pratiques et adaptées aux problèmes identifiés.
(AIP)
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