Zuénoula - Le chef de cantonnement des Eaux et Forêts de Zuénoula, le colonel Ourouma Fallé Laurent veut sévir contre les chasseurs, principalement les « dozo » et les tenancières de maquis à Zuénoula qui continuent de commercer le gibier.
Dans une note adressée à ceux-ci dont l’AIP a reçu copie, vendredi, le chef de cantonnement constate que « le commerce de la viande de chasse devient de plus de plus important. Certaines espèces protégées ou partiellement protégées (hippopotame, buffle, caïman python) sont devenues la cibles des braconniers ».
A cela s’ajoute la mesure du gouvernement d’interdire la consommation de certains rongeurs pour cause d’Ebola. Brandissant l’article 16 de la loi n° 65 -255 du 04 Août 1965 relative à la protection de la faune et à l’exercice de la chasse, il compte procéder à des contrôles inopinés.
Ainsi, « toute personne contrevenant aux dispositions de la dite loi sera passible des sanctions prévues », avertit-il.
(AIP)
akr/cmas
Dans une note adressée à ceux-ci dont l’AIP a reçu copie, vendredi, le chef de cantonnement constate que « le commerce de la viande de chasse devient de plus de plus important. Certaines espèces protégées ou partiellement protégées (hippopotame, buffle, caïman python) sont devenues la cibles des braconniers ».
A cela s’ajoute la mesure du gouvernement d’interdire la consommation de certains rongeurs pour cause d’Ebola. Brandissant l’article 16 de la loi n° 65 -255 du 04 Août 1965 relative à la protection de la faune et à l’exercice de la chasse, il compte procéder à des contrôles inopinés.
Ainsi, « toute personne contrevenant aux dispositions de la dite loi sera passible des sanctions prévues », avertit-il.
(AIP)
akr/cmas