Abidjan- L'élection présidentielle égyptienne des 26 et 27 mai va mettre aux prises, les candidats Abdel Fattah al-Sissi et Hamdeen Sabbahi.
Selon des observateurs, le maréchal al-Sissi est donné gagnant face au leader d’une gauche qui dit incarner les idéaux de la révolution de 2011.
Onze mois après l'éviction du premier chef d’État élu démocratiquement, l'islamiste Mohamed Morsi, les Égyptiens vont à nouveau se rendre aux urnes les 26 et 27 mai, pour départager le maréchal à la retraite, Abdel Fattah al Sissi et Hamdeen Sabbahi.
Depuis la destitution de Morsi, son organisation des Frères musulmans, première force politique victorieuse de toutes les élections depuis la révolte de 2011, a été déclarée "terroriste". La plupart de ses dirigeants est en prison et encourt la peine de mort tandis que ses membres sont interdits de se présenter à une élection. Leur boycottage pourrait faire grimper l'abstention, indique-ton.
cmas
Selon des observateurs, le maréchal al-Sissi est donné gagnant face au leader d’une gauche qui dit incarner les idéaux de la révolution de 2011.
Onze mois après l'éviction du premier chef d’État élu démocratiquement, l'islamiste Mohamed Morsi, les Égyptiens vont à nouveau se rendre aux urnes les 26 et 27 mai, pour départager le maréchal à la retraite, Abdel Fattah al Sissi et Hamdeen Sabbahi.
Depuis la destitution de Morsi, son organisation des Frères musulmans, première force politique victorieuse de toutes les élections depuis la révolte de 2011, a été déclarée "terroriste". La plupart de ses dirigeants est en prison et encourt la peine de mort tandis que ses membres sont interdits de se présenter à une élection. Leur boycottage pourrait faire grimper l'abstention, indique-ton.
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