Mesdames et Messieurs
Chers amis de la presse
Cher frères et Sœurs Etudiants
De son institution jusqu’aux années 90, l’école ivoirienne était le cadre par excellence de l’apprentissage et faisait la fierté du pays. Cependant, à l’image de la société ivoirienne, l’école va au fil du temps se détériorer, perdre sa valeur et être confrontée à des troubles récurrents. Si pendant la décennie 1990-2000, l’école a connu des troubles significatifs, il faut admettre que la décennie 2000-2010 l’a paralysée.
Les élèves et étudiants ont leur part de responsabilité dans la crise actuelle de l’école. En homme libres, ils étaient libres de soutenir telle ou telle politique. Ils doivent en conséquence subir les conséquences des résultats de la politique suivie. Mais la question fondamentale de la crise de l’école ivoirienne n’est pas le comportement associatif et politique des élèves et étudiants. Ce comportement positif ou négatif est la conséquence d’une situation globale socio politique qui nous interpelle tous.
Chaque élève et étudiant doit donc avoir une vision claire des défis actuels de notre pays qui sont la construction d’un Etat de droit et la construction d’une nation prospère et moderne. Les deux exigences vont de paire et ne sauraient être séparées ou subordonnées. Aussi, chaque élève et étudiant doit avoir la conscience et la volonté de s’inscrire dans une dynamique de préservation des intérêts des élèves et étudiants.
La responsabilité de cette situation incombe à la société ivoirienne en général et aux acteurs du système éducatif en particulier. En effet personne n’a su aider l’école à traverser les difficultés, à savoir : croissance exponentielle des élèves et étudiants, insuffisance et inadaptation des infrastructures, paupérisation, instabilité politique, etc...
Aujourd’hui, il apparaît important et urgent de relever l’école et de lui réassigner sa mission première, son essence, celle qui la valorise et justifie son existence. Pour se faire, tous les acteurs doivent apporter leur contribution et panser les plaies.
Si à l’image de tous, les structures syndicales et associatives des élèves et étudiants ont une part de responsabilité dans la perte de l’école, il nous revient d’aborder la question et de faire notre contribution à travers une autocritique assortie d’une vision nouvelle pour la nouvelle école.
Tous les pans du système éducatif sont affectés par une crise profonde ; cette situation oblige les premiers concernés, les élèves et étudiants que nous sommes, à nous départir du défaitisme et à nous retrousser les manches pour apporter notre modeste contribution à la restauration de l’école et donc de l’image de l’étudiant en Côte d’Ivoire.
Face donc au constat des erreurs du passé et à l’heure de la renaissance de l’école ivoirienne, nous, organisations d’élèves et d’étudiants de côte d’Ivoire, avons décidé de prendre nos responsabilités et d’accompagner ce nouvel élan. Pour cela, nous avons créé une association scolaire et estudiantine nouvelle, mettre fin à notre dispersion et nous unir au sein d’une fédération qui a pour valeurs l’excellence, la solidarité et la démocratie
Convaincus qu’il faut une nouvelle vision de l’action associative en milieu scolaire et universitaire,
Conscients que l’avenir de la jeunesse ivoirienne passe nécessairement par une formation de qualité.
Conscients de la responsabilité des élèves et étudiants dans la normalité et la stabilité de l’école ivoirienne,
Convaincus que l’esprit de solidarité, d’échange et de respect mutuel entre les acteurs du système éducatif doit être un puissant facteur pour la renaissance de l’école ivoirienne,
Convaincus que l’amélioration des conditions de vie et d’étude des élèves et étudiants passera par leur organisation en une structure forte et dynamique,
Vu le déraillement passé des organisations d’élèves et d’étudiants de leurs objectifs,
Vu la nécessité de redorer l’image des organisations associatives d’élèves et d’étudiants,
Vu la nécessité de réorienter les méthodes d’action syndicale et associative en milieu scolaire et universitaire,
Nous, organisations d’élèves et d’étudiants de Côte d’Ivoire, décidons de prendre notre destin en main en fédérant au sein de la Renaissance Etudiante et Scolaire dénommée « RETS » en vue de promouvoir l’autonomie de l’étudiant nouveau dans la gestion des problèmes sociaux et académiques.
Mouvement libéral du centre droit optant pour un libéralisme à visage humain la RETS se veut une association de.
Les actions de la RETS pour les mois à venir
L’IMPLATATION
- LA SOLIDARITE la rets va organiser la solidarité autours des étudiants les plus vulnérables
- Les Action citoyennes, la rets se veux une association citoyenne, la préservation du cadre de vie des étudiants, les action d’utilité public,
- La coopération et les relations internationale
- La RETS est un mouvement ouvert qui entend tisser des liens aussi bien avec d’autres organisations tant étudiantes que d’autres organisations internationales
- Signature de partenariat
La RETS se veut la plus grande association estudiantine en Côte d’Ivoire de par sa représentativité dans toutes les universités en Côte d’Ivoire et par la couverture de plus de 90 % des grandes écoles d’enseignement supérieur Privé.
La RETS n’est pas un syndicat, c’est une association
La RETS, c’est la rupture d’avec le passé sombre des organisations d’étudiants
La RETS c’est la promotion du bien être intellectuel et social de l’étudiant
La RETS c’est la promotion de l’excellence
La RETS c’est la facilité d’obtention de stage et de premier emploi
La RETS c’est la promotion de la non violence
La RETS c’est la solidarité entre et autour de l’étudiant
La RETS c’est la promotion de valeurs morales
La RETS c’est la promotion des valeurs de démocratie
Aussi voudrais-je vous annoncer l’investiture dans les jours avenir des coordinations de l’intérieur du pays et l’organisation d’un grands congrès qui regroupera plus de 10 000 étudiants en début d’année 2015.
VIVE L’ECOLE IVOIRIENNE, VIVE LA RETS.
Chers amis de la presse
Cher frères et Sœurs Etudiants
De son institution jusqu’aux années 90, l’école ivoirienne était le cadre par excellence de l’apprentissage et faisait la fierté du pays. Cependant, à l’image de la société ivoirienne, l’école va au fil du temps se détériorer, perdre sa valeur et être confrontée à des troubles récurrents. Si pendant la décennie 1990-2000, l’école a connu des troubles significatifs, il faut admettre que la décennie 2000-2010 l’a paralysée.
Les élèves et étudiants ont leur part de responsabilité dans la crise actuelle de l’école. En homme libres, ils étaient libres de soutenir telle ou telle politique. Ils doivent en conséquence subir les conséquences des résultats de la politique suivie. Mais la question fondamentale de la crise de l’école ivoirienne n’est pas le comportement associatif et politique des élèves et étudiants. Ce comportement positif ou négatif est la conséquence d’une situation globale socio politique qui nous interpelle tous.
Chaque élève et étudiant doit donc avoir une vision claire des défis actuels de notre pays qui sont la construction d’un Etat de droit et la construction d’une nation prospère et moderne. Les deux exigences vont de paire et ne sauraient être séparées ou subordonnées. Aussi, chaque élève et étudiant doit avoir la conscience et la volonté de s’inscrire dans une dynamique de préservation des intérêts des élèves et étudiants.
La responsabilité de cette situation incombe à la société ivoirienne en général et aux acteurs du système éducatif en particulier. En effet personne n’a su aider l’école à traverser les difficultés, à savoir : croissance exponentielle des élèves et étudiants, insuffisance et inadaptation des infrastructures, paupérisation, instabilité politique, etc...
Aujourd’hui, il apparaît important et urgent de relever l’école et de lui réassigner sa mission première, son essence, celle qui la valorise et justifie son existence. Pour se faire, tous les acteurs doivent apporter leur contribution et panser les plaies.
Si à l’image de tous, les structures syndicales et associatives des élèves et étudiants ont une part de responsabilité dans la perte de l’école, il nous revient d’aborder la question et de faire notre contribution à travers une autocritique assortie d’une vision nouvelle pour la nouvelle école.
Tous les pans du système éducatif sont affectés par une crise profonde ; cette situation oblige les premiers concernés, les élèves et étudiants que nous sommes, à nous départir du défaitisme et à nous retrousser les manches pour apporter notre modeste contribution à la restauration de l’école et donc de l’image de l’étudiant en Côte d’Ivoire.
Face donc au constat des erreurs du passé et à l’heure de la renaissance de l’école ivoirienne, nous, organisations d’élèves et d’étudiants de côte d’Ivoire, avons décidé de prendre nos responsabilités et d’accompagner ce nouvel élan. Pour cela, nous avons créé une association scolaire et estudiantine nouvelle, mettre fin à notre dispersion et nous unir au sein d’une fédération qui a pour valeurs l’excellence, la solidarité et la démocratie
Convaincus qu’il faut une nouvelle vision de l’action associative en milieu scolaire et universitaire,
Conscients que l’avenir de la jeunesse ivoirienne passe nécessairement par une formation de qualité.
Conscients de la responsabilité des élèves et étudiants dans la normalité et la stabilité de l’école ivoirienne,
Convaincus que l’esprit de solidarité, d’échange et de respect mutuel entre les acteurs du système éducatif doit être un puissant facteur pour la renaissance de l’école ivoirienne,
Convaincus que l’amélioration des conditions de vie et d’étude des élèves et étudiants passera par leur organisation en une structure forte et dynamique,
Vu le déraillement passé des organisations d’élèves et d’étudiants de leurs objectifs,
Vu la nécessité de redorer l’image des organisations associatives d’élèves et d’étudiants,
Vu la nécessité de réorienter les méthodes d’action syndicale et associative en milieu scolaire et universitaire,
Nous, organisations d’élèves et d’étudiants de Côte d’Ivoire, décidons de prendre notre destin en main en fédérant au sein de la Renaissance Etudiante et Scolaire dénommée « RETS » en vue de promouvoir l’autonomie de l’étudiant nouveau dans la gestion des problèmes sociaux et académiques.
Mouvement libéral du centre droit optant pour un libéralisme à visage humain la RETS se veut une association de.
Les actions de la RETS pour les mois à venir
L’IMPLATATION
- LA SOLIDARITE la rets va organiser la solidarité autours des étudiants les plus vulnérables
- Les Action citoyennes, la rets se veux une association citoyenne, la préservation du cadre de vie des étudiants, les action d’utilité public,
- La coopération et les relations internationale
- La RETS est un mouvement ouvert qui entend tisser des liens aussi bien avec d’autres organisations tant étudiantes que d’autres organisations internationales
- Signature de partenariat
La RETS se veut la plus grande association estudiantine en Côte d’Ivoire de par sa représentativité dans toutes les universités en Côte d’Ivoire et par la couverture de plus de 90 % des grandes écoles d’enseignement supérieur Privé.
La RETS n’est pas un syndicat, c’est une association
La RETS, c’est la rupture d’avec le passé sombre des organisations d’étudiants
La RETS c’est la promotion du bien être intellectuel et social de l’étudiant
La RETS c’est la promotion de l’excellence
La RETS c’est la facilité d’obtention de stage et de premier emploi
La RETS c’est la promotion de la non violence
La RETS c’est la solidarité entre et autour de l’étudiant
La RETS c’est la promotion de valeurs morales
La RETS c’est la promotion des valeurs de démocratie
Aussi voudrais-je vous annoncer l’investiture dans les jours avenir des coordinations de l’intérieur du pays et l’organisation d’un grands congrès qui regroupera plus de 10 000 étudiants en début d’année 2015.
VIVE L’ECOLE IVOIRIENNE, VIVE LA RETS.