Abidjan – Le directeur adjoint du département Afrique du Fonds monétaire international a affirmé, jeudi, dans le cadre des perspectives économiques régionales de l’Afrique subsaharienne tenues à Abidjan, que les pays les plus pauvres ont réalisé de meilleurs taux de croissance.
"Les pays les plus pauvres sont ceux qui ont obtenu des taux de croissance des plus élevés, d’environ 5%", a relevé Roger Nord qui a ajouté que ceux de l’espace Uemoa, tirés par la Côte d’Ivoire qui connaît une reprise soutenue depuis trois ans, réalise une croissance plus importante d’environ 6,5%.
Selon le patron Afrique du FMI, une étude de l’institution financière montre que la croissance reste "vigoureuse" en Afrique subsaharienne, avec un taux moyen de 5,5%.
"L’Afrique subsaharienne a le taux de croissance le plus élevé que 80% des pays dans le monde", a-t-il souligné, notant une accélération de la croissance prévue dans la plupart des pays.
Roger Nord a toutefois fait remarquer que des déficits budgétaires dans ces pays restent encore élevés, notamment la dette publique qui ne cesse de s’y augmenter.
Pour traduire cette croissance en une "croissance durable et inclusive", le directeur Afrique du FMI suggère des investissements dans le secteur agricole et celui des services qui contribuent à la réduction de la pauvreté.
Roger Nord a, en conclusion, assuré que la croissance devrait s’accélérer en 2014-2015 avec "des risques mitigés et contrôlés" tout en prévenant une accentuation du déséquilibre budgétaire et de la dette publique.
"Les pays les plus pauvres sont ceux qui ont obtenu des taux de croissance des plus élevés, d’environ 5%", a relevé Roger Nord qui a ajouté que ceux de l’espace Uemoa, tirés par la Côte d’Ivoire qui connaît une reprise soutenue depuis trois ans, réalise une croissance plus importante d’environ 6,5%.
Selon le patron Afrique du FMI, une étude de l’institution financière montre que la croissance reste "vigoureuse" en Afrique subsaharienne, avec un taux moyen de 5,5%.
"L’Afrique subsaharienne a le taux de croissance le plus élevé que 80% des pays dans le monde", a-t-il souligné, notant une accélération de la croissance prévue dans la plupart des pays.
Roger Nord a toutefois fait remarquer que des déficits budgétaires dans ces pays restent encore élevés, notamment la dette publique qui ne cesse de s’y augmenter.
Pour traduire cette croissance en une "croissance durable et inclusive", le directeur Afrique du FMI suggère des investissements dans le secteur agricole et celui des services qui contribuent à la réduction de la pauvreté.
Roger Nord a, en conclusion, assuré que la croissance devrait s’accélérer en 2014-2015 avec "des risques mitigés et contrôlés" tout en prévenant une accentuation du déséquilibre budgétaire et de la dette publique.