Présent à la première édition du Festival du Cinéma de Lomé (Fescilom), du 24 au 27 avril 2014, en qualité de formateur, l’acteur ivoirien, Ahmed Souaney a reçu le trophée de la meilleure participation. Le trophée est une sculpture en bois qui représente un homme, coiffé d’un melon et munit d’une caméra. De retour à Abidjan, Ahmed Souaney a partagé son «sentiment de fierté». «Quand plusieurs formateurs venus de pays différents – Allemagne, France, Benin, Togo, Cote d'Ivoire – se retrouvent lors d’un festival et qu'on vous désigne comme le meilleur on se dit qu'on a eu de bons maîtres», a-t-il traduit. «La formation des acteurs est primordiale et c'est en cela que j'encourage les jeunes d'ici (Ndlr ; Côte d’Ivoire), qui veulent être acteurs ou producteurs de cinéma, à ne pas brûler les étapes. Il faut se former sérieusement afin d'être compétitif sur le marché des arts», a-t-il conseillé.
Les autres formateurs (internationaux) sur le site du festival, Place Anani Santos, étaient : Rasmané Ouédraogo et Gustave Sorgho (cinéastes burkinabé), Akala Akambi, Directeur de la cinématographie béninoise, Jacques Curtil et Jean Bernard Emery (France) et Miekeledo K. Okouagbe en provenance d’Allemagne.
Pour Ahmed Souaney, son choix parmi ses pairs s’explique «par la qualité de la formation donnée et l'adhésion des apprenants (Ndlr ; étudiants) qui avaient la possibilité de passer par plusieurs formateurs». Les modules de formations étaient la scénarisation, le montage, l’Actorat, et la réalisation.
L’Actorat a été celui développé par Ahmed Souaney. «C’est-à-dire, précise-t-il, tout ce qui entre dans la formation d'un acteur. A savoir : le corps et la psychologie de l'acteur, l'expression corporelle, l'incarnation du personnage, la diction, etc.»
En réponse à l’un des objectifs du Fescilom qui est de favoriser les échanges entre les professionnels du cinéma, le formateur et lauréat ivoirien admet qu’«on s'enrichit toujours en partageant car c’est un échange de connaissances».
Le festival qui s’est donné pour objectif de promouvoir la jeune fille dans le secteur du 7è art et mettre la condition féminine au cœur du cinéma au Togo, a distingué Mme Assouma Adike, doyenne des réalisatrices du Togo. Ce festival qui «voudrait être un carrefour pour les acteurs des métiers du cinéma du Togo, d’Afrique et du monde entier» est-il promu à un bel avenir ? Ahmed Souaney n’en doute pas vu le «plein d’ambitions» qu’il trouve en Joël Aboubacar Misseboukpo, promoteur dudit festival.
«Ce festival sera ce que les Togolais voudront qu’il soit. Les bases sont jetées, l'initiative a été prise, c'est aux autorités togolaises de jouer leur partition en apportant tout le soutien financier car il y va du développement et de la promotion du cinéma togolais», a commenté l’acteur ivoirien, Ahmed Souaney. Plusieurs prix ont récompensé dans différentes catégories des postulants dont des comédiens, acteurs, cinéastes, réalisateurs, directeurs photo, producteurs, etc. Ce sont le prix du meilleur court métrage fiction, prix du meilleur long métrage, prix du meilleur film documentaire, prix de la meilleure réalisation clip vidéo.
Koné Saydoo
Les autres formateurs (internationaux) sur le site du festival, Place Anani Santos, étaient : Rasmané Ouédraogo et Gustave Sorgho (cinéastes burkinabé), Akala Akambi, Directeur de la cinématographie béninoise, Jacques Curtil et Jean Bernard Emery (France) et Miekeledo K. Okouagbe en provenance d’Allemagne.
Pour Ahmed Souaney, son choix parmi ses pairs s’explique «par la qualité de la formation donnée et l'adhésion des apprenants (Ndlr ; étudiants) qui avaient la possibilité de passer par plusieurs formateurs». Les modules de formations étaient la scénarisation, le montage, l’Actorat, et la réalisation.
L’Actorat a été celui développé par Ahmed Souaney. «C’est-à-dire, précise-t-il, tout ce qui entre dans la formation d'un acteur. A savoir : le corps et la psychologie de l'acteur, l'expression corporelle, l'incarnation du personnage, la diction, etc.»
En réponse à l’un des objectifs du Fescilom qui est de favoriser les échanges entre les professionnels du cinéma, le formateur et lauréat ivoirien admet qu’«on s'enrichit toujours en partageant car c’est un échange de connaissances».
Le festival qui s’est donné pour objectif de promouvoir la jeune fille dans le secteur du 7è art et mettre la condition féminine au cœur du cinéma au Togo, a distingué Mme Assouma Adike, doyenne des réalisatrices du Togo. Ce festival qui «voudrait être un carrefour pour les acteurs des métiers du cinéma du Togo, d’Afrique et du monde entier» est-il promu à un bel avenir ? Ahmed Souaney n’en doute pas vu le «plein d’ambitions» qu’il trouve en Joël Aboubacar Misseboukpo, promoteur dudit festival.
«Ce festival sera ce que les Togolais voudront qu’il soit. Les bases sont jetées, l'initiative a été prise, c'est aux autorités togolaises de jouer leur partition en apportant tout le soutien financier car il y va du développement et de la promotion du cinéma togolais», a commenté l’acteur ivoirien, Ahmed Souaney. Plusieurs prix ont récompensé dans différentes catégories des postulants dont des comédiens, acteurs, cinéastes, réalisateurs, directeurs photo, producteurs, etc. Ce sont le prix du meilleur court métrage fiction, prix du meilleur long métrage, prix du meilleur film documentaire, prix de la meilleure réalisation clip vidéo.
Koné Saydoo