Abidjan - Le Tome 5 du recueil de nouvelles « Best of les coups de la vie » des Editions Go Média, de la journaliste-écrivain, Anzata Ouattara, a remporté mercredi le Prix de la meilleure vente 2013 de la Librairie de France groupe, dont le trophée et le chèque représentant 5% du chiffre d’affaires des ventes effectuées lui ont été remis, à l’Hôtel du district d’Abidjan, par le chef de cabinet du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Palé Sié.
Avec 3771 ventes, elle succède à Isaïe Biton Coulibaly, lauréat l’année dernière avec « La parenthèse délicieuse », qui vient en seconde position cette année avec « Le jour de demain » (Frat-Mat Edition) qui a réalisé 2747 ventes.
Le directeur général du quotidien Fraternité Matin, Venance Konan, occupe la troisième position avec « Le rebelle et le camarade président » édité par son entreprise pour un total de 1096 ventes.
« Les ivoiriens ont envie de lire mais le livre n’est pas à leur portée parce qu’il coûte cher », a déploré Venance Konan qui a invité à une réflexion entre éditeurs, écrivains et parents pour y trouver une solution.
« Sans les livres et la lecture, l’Afrique ne décollera pas quels que soient les milliards que la Banque mondiale et le Fonds monétaire international vont déverser », a relevé Biton Coulibaly, nominé à chaque édition depuis le lancement de ce prix en 2007.
« En adoptant mes ouvrages et leur nouveau style d’écriture, vous prouvez que vous êtes le meilleur juge », s’est réjouie la lauréate Anzata Ouattara qui occupait la seconde position l’année dernière avec le Tome 4 de ses « Best of la vie », ouvrages dans lesquels elle publie les problèmes que lui soumettent les lecteurs du magazine Go Magasine et les réponses et conseils qu’elle leur prodigue.
Pour sa part, le directeur général de la Librairie de France Groupe, René Yédiéti, a plaidé pour la création de chaînes de librairies dans tout le pays à l’instar des boulangeries et pharmacies pour la promotion de la lecture et une politique du livre qui en exclut les non-professionnels qui enlèvent les marchés de commandes de livres scolaires « juste pour la circonstance » à leur détriment.
(AIP)
aaa/tm
Avec 3771 ventes, elle succède à Isaïe Biton Coulibaly, lauréat l’année dernière avec « La parenthèse délicieuse », qui vient en seconde position cette année avec « Le jour de demain » (Frat-Mat Edition) qui a réalisé 2747 ventes.
Le directeur général du quotidien Fraternité Matin, Venance Konan, occupe la troisième position avec « Le rebelle et le camarade président » édité par son entreprise pour un total de 1096 ventes.
« Les ivoiriens ont envie de lire mais le livre n’est pas à leur portée parce qu’il coûte cher », a déploré Venance Konan qui a invité à une réflexion entre éditeurs, écrivains et parents pour y trouver une solution.
« Sans les livres et la lecture, l’Afrique ne décollera pas quels que soient les milliards que la Banque mondiale et le Fonds monétaire international vont déverser », a relevé Biton Coulibaly, nominé à chaque édition depuis le lancement de ce prix en 2007.
« En adoptant mes ouvrages et leur nouveau style d’écriture, vous prouvez que vous êtes le meilleur juge », s’est réjouie la lauréate Anzata Ouattara qui occupait la seconde position l’année dernière avec le Tome 4 de ses « Best of la vie », ouvrages dans lesquels elle publie les problèmes que lui soumettent les lecteurs du magazine Go Magasine et les réponses et conseils qu’elle leur prodigue.
Pour sa part, le directeur général de la Librairie de France Groupe, René Yédiéti, a plaidé pour la création de chaînes de librairies dans tout le pays à l’instar des boulangeries et pharmacies pour la promotion de la lecture et une politique du livre qui en exclut les non-professionnels qui enlèvent les marchés de commandes de livres scolaires « juste pour la circonstance » à leur détriment.
(AIP)
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