Un chantre, "Békanty’’, à l’état civil, Koffi Amenan Rosalie, a présenté, dimanche à Bouaké (Centre, région de Gbèkè), ses deux albums de douze titres intitulés respectivement "Bénédiction’’ et "La grâce’’ qui invitent les Ivoiriens à se réconcilier entre eux et avec Dieu, leur créateur.
A travers ces deux albums qu’elle place sous le signe de la "réconciliation et de la cohésion sociale", l’artiste montre que "c’est en Dieu seul qu’on doit espérer pour le Salut mais également pour les choses de la terre’’, soulignant que "c’est Dieu qui donnait l’autorité’’.
"Que les gens s’entendent, je l’ai chanté, nous sommes issus d’un seul Père (céleste) et les enfants d’un seul père ne doivent pas s’entre-déchirer", souligne-t-elle. A l’instar des enfants d’une famille nucléaire qui reviennent à la même table pour manger après s’être bagarrés, elle conseille aux Ivoiriens d’être "un, malgré tout ce qui s’est passé". Car, estime-t-elle, "le Père céleste attend chacun pour lui demander des comptes pour ce qu’il a fait".
Békanty qui a toujours vécu à Bouaké malgré les crises de cette dernière décennie, a embrassé la carrière musicale depuis 1998, suite à des messages qu’elle dit avoir "reçus du Seigneur’’.
Elle livre son message en langue locale Baoulé, en Malinké et dans diverses autres langues, sur un rythme cubain et des rythmes du terroir.
Nbf/kkp/ask
A travers ces deux albums qu’elle place sous le signe de la "réconciliation et de la cohésion sociale", l’artiste montre que "c’est en Dieu seul qu’on doit espérer pour le Salut mais également pour les choses de la terre’’, soulignant que "c’est Dieu qui donnait l’autorité’’.
"Que les gens s’entendent, je l’ai chanté, nous sommes issus d’un seul Père (céleste) et les enfants d’un seul père ne doivent pas s’entre-déchirer", souligne-t-elle. A l’instar des enfants d’une famille nucléaire qui reviennent à la même table pour manger après s’être bagarrés, elle conseille aux Ivoiriens d’être "un, malgré tout ce qui s’est passé". Car, estime-t-elle, "le Père céleste attend chacun pour lui demander des comptes pour ce qu’il a fait".
Békanty qui a toujours vécu à Bouaké malgré les crises de cette dernière décennie, a embrassé la carrière musicale depuis 1998, suite à des messages qu’elle dit avoir "reçus du Seigneur’’.
Elle livre son message en langue locale Baoulé, en Malinké et dans diverses autres langues, sur un rythme cubain et des rythmes du terroir.
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