Le rideau est tombé samedi sur la 4è édition du salon de la mode africaine qui avait ouvert ses portes le jeudi 8 mai à la Caistab au Plateau. Son promoteur, Astin Grégoire qui vit aux Etats-Unis est dans la dynamique de réaliser un rêve qu’il nourrit depuis la première édition en 2006 : Faire d’Abidjan la 6è ville-capitale mondiale de la mode. «C’est pourquoi nous nous battons pour la Côte d’Ivoire – la ville d’Abidjan, soit la 6è ville-capitale mondiale de la mode», a-t-il admit au micro du journaliste Andjou Joseph qui a salué l’abnégation de Atsé Grégoire. «Je l’ai connu bien avant qu’il ne lance cet événement qu’il m’avait présenté pour l’aider à le promouvoir. J’ai toujours cru en lui», a confié le journaliste.
La mode qui a aujourd’hui une dimension à caractère mondial, Asté Grégoire s’est réjouit que ce rendez-vous de la mode africaine ait pu «faire partie du calendrier des activités de mode» – à côté de Elégance Afrique, Afrique Mode et la Fashion week aux Etats-Unis, le salon des prêts-à-porter à Paris, etc.
«La Côte d’Ivoire bénéficie de cette fête de la mode. Il faut que les partenaires, le ministère de la Culture nous encourage pour que cet événement demeure en Côte d’Ivoire pour être le sixième événement mondial au niveau des activités de mode», a-t-il encouragé.
Face à ce challenge, le promoteur Atsé Grégoire sollicité le «soutien de toutes les autorités de la Côte d’Ivoire» parce que, a-t-il expliqué, «c’est ma façon à moi de contribuer à l’émergence de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique à l’horizon 2020».
A la clôture du salon le 10 mai, plusieurs créateurs de mode ont présenté leurs dernières collections marquées d’une diversité culturelle.
La 4è édition s’est tenu autour du thème “Professionnalisation de la filière mode africaine”. Trois sous-thèmes ont été dégagés : “L’apport des entreprises culturelles, des institutions et des technologies” ; “L’élévation des marques des créateurs africains au rang mondial et les clés de la réussite” et “Enjeux et formation dans la filière mode africaine”.
Beaucoup de créateurs qui ont présenté leurs créations à la 4è édition du Simoa.
Koné Saydoo
La mode qui a aujourd’hui une dimension à caractère mondial, Asté Grégoire s’est réjouit que ce rendez-vous de la mode africaine ait pu «faire partie du calendrier des activités de mode» – à côté de Elégance Afrique, Afrique Mode et la Fashion week aux Etats-Unis, le salon des prêts-à-porter à Paris, etc.
«La Côte d’Ivoire bénéficie de cette fête de la mode. Il faut que les partenaires, le ministère de la Culture nous encourage pour que cet événement demeure en Côte d’Ivoire pour être le sixième événement mondial au niveau des activités de mode», a-t-il encouragé.
Face à ce challenge, le promoteur Atsé Grégoire sollicité le «soutien de toutes les autorités de la Côte d’Ivoire» parce que, a-t-il expliqué, «c’est ma façon à moi de contribuer à l’émergence de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique à l’horizon 2020».
A la clôture du salon le 10 mai, plusieurs créateurs de mode ont présenté leurs dernières collections marquées d’une diversité culturelle.
La 4è édition s’est tenu autour du thème “Professionnalisation de la filière mode africaine”. Trois sous-thèmes ont été dégagés : “L’apport des entreprises culturelles, des institutions et des technologies” ; “L’élévation des marques des créateurs africains au rang mondial et les clés de la réussite” et “Enjeux et formation dans la filière mode africaine”.
Beaucoup de créateurs qui ont présenté leurs créations à la 4è édition du Simoa.
Koné Saydoo