Le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a salué, mardi, le bon déroulement du second tour de l’élection présidentielle en Guinée Bissau, sanctionné par la victoire de José Mario Vaz, candidat du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée Bissau et du Cap-Vert (PAIGC).
Selon les résultats provisoires de la Commission nationale électorale (CNE), publiés mardi, José Mario Vaz , a été déclaré vainqueur de la présidentielle de dimanche dernier avec 61,90% des suffrages alors que son challenger Nuno Gomes Nabiam, soutenu par le Parti de la rénovation sociale (PRS) du défunt président Kumba Yala, a engrangé 38,10 pour cent des voix.
« Votre visite me va droit au cœur. J'ai repris de manière pleine et entière », a déclaré le Président ivoirien Alassane Ouattara au terme d'une audience avec son homologue togolais, Faure Gnassingbé, venu lui présenter ses vœux de « prompt rétablissement ». M. Ouattara avait été opéré en février dernier en France d'une sciatique.
« Nous avons saisi l'occasion pour faire le point de nos relations », a-t-il poursuivi en ajoutant que « nous sommes heureux de ce qui s'est passé en Guinée Bissau grâce aux efforts de tous ».
Alors Président en exercice de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), Alassane Ouattara s'était fortement impliqué dans la résolution de la crise Bissau-guinéenne en vue de permettre à ce petit pays d'environ 1,5 million d'habitants de tourner la page de deux ans de transition ouverte le 12 avril 2012 par un énième coup d'Etat militaire.
« Je vous félicite de votre impressionnant leadership à la tête de la CEDEAO. Cher président, la Côte d'Ivoire a besoin de vous», a renchéri pour sa part le président togolais, soulignant que « quand la Côte d'Ivoire va bien, l'UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine) va bien ».
« Nous goutons aux fruits du retour à la paix et à la reprise économique dans votre pays », a conclu le Président Faure Gnassingbé.
Le Chef de l'Etat ivoirien a achevé fin mars dernier son deuxième mandat à la tête de la CEDEAO. Il a été remplacé lors du 44è sommet de l'organisation ouest-africaine tenu à Yamoussoukro par son homologue Ghanéen John Dramani Mahama.
LS/APA
Selon les résultats provisoires de la Commission nationale électorale (CNE), publiés mardi, José Mario Vaz , a été déclaré vainqueur de la présidentielle de dimanche dernier avec 61,90% des suffrages alors que son challenger Nuno Gomes Nabiam, soutenu par le Parti de la rénovation sociale (PRS) du défunt président Kumba Yala, a engrangé 38,10 pour cent des voix.
« Votre visite me va droit au cœur. J'ai repris de manière pleine et entière », a déclaré le Président ivoirien Alassane Ouattara au terme d'une audience avec son homologue togolais, Faure Gnassingbé, venu lui présenter ses vœux de « prompt rétablissement ». M. Ouattara avait été opéré en février dernier en France d'une sciatique.
« Nous avons saisi l'occasion pour faire le point de nos relations », a-t-il poursuivi en ajoutant que « nous sommes heureux de ce qui s'est passé en Guinée Bissau grâce aux efforts de tous ».
Alors Président en exercice de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), Alassane Ouattara s'était fortement impliqué dans la résolution de la crise Bissau-guinéenne en vue de permettre à ce petit pays d'environ 1,5 million d'habitants de tourner la page de deux ans de transition ouverte le 12 avril 2012 par un énième coup d'Etat militaire.
« Je vous félicite de votre impressionnant leadership à la tête de la CEDEAO. Cher président, la Côte d'Ivoire a besoin de vous», a renchéri pour sa part le président togolais, soulignant que « quand la Côte d'Ivoire va bien, l'UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine) va bien ».
« Nous goutons aux fruits du retour à la paix et à la reprise économique dans votre pays », a conclu le Président Faure Gnassingbé.
Le Chef de l'Etat ivoirien a achevé fin mars dernier son deuxième mandat à la tête de la CEDEAO. Il a été remplacé lors du 44è sommet de l'organisation ouest-africaine tenu à Yamoussoukro par son homologue Ghanéen John Dramani Mahama.
LS/APA
