Dans le cadre de sa caravane de sensibilisation sur la réconciliation nationale et la cohésion sociale, l’union des photojournalistes de Côte d’Ivoire a posé ses valises dans la capitale du Guemon, Duékoué ville symbole des atrocités de la crise postélectorale.
Durant deux jours du 21 au 22 mai, les populations ont été à la paix et à la réconciliation à travers l’expo-photos « Paix et Réconciliation », retraçant dans une centaine de photos la crise postélectorale de 2011, considérée comme la plus grave de l’histoire du pays.
« Nous devons prendre la pleine mesure des conséquences néfastes de la guerre. Et éviter que de telles atrocités se produisent dans notre pays », a indiqué Emmanuel Tano, le président des photojournalistes de Côte d’Ivoire. ‘‘Nous sommes unis dans nos différences’’, ‘‘ Le passé doit nous apprendre à partager l’avenir’’, ‘‘Plus jamais ça en Côte d’Ivoire’’, ‘‘ Pour le bonheur de nos enfants, nous devons nous réconcilier’’, ‘‘Ensemble, nous sommes forts’’ sont autant de slogans qui accompagnent cette exposition, déconseillée aux âmes sensibles et aux mineurs du fait de la dureté de certaines images.
En choisissant Duékoué, les photojournalistes ont voulu rendre hommage à cette ville symbole de la cruauté de la crise postélectorale et participer au retour de la paix et de la cohésion sociale dans cette ville, entre populations autochtones Guéré et allochtones Baoulé et malinké.
Cette exposition a vu la participation des autorités de la ville, notamment le maire, le corps préfectoral et la chefferie traditionnelle des différentes communautés.
Après Duékoué, le cap sera mis sur la ville de Divo les 24 et 25 mai prochain
Durant deux jours du 21 au 22 mai, les populations ont été à la paix et à la réconciliation à travers l’expo-photos « Paix et Réconciliation », retraçant dans une centaine de photos la crise postélectorale de 2011, considérée comme la plus grave de l’histoire du pays.
« Nous devons prendre la pleine mesure des conséquences néfastes de la guerre. Et éviter que de telles atrocités se produisent dans notre pays », a indiqué Emmanuel Tano, le président des photojournalistes de Côte d’Ivoire. ‘‘Nous sommes unis dans nos différences’’, ‘‘ Le passé doit nous apprendre à partager l’avenir’’, ‘‘Plus jamais ça en Côte d’Ivoire’’, ‘‘ Pour le bonheur de nos enfants, nous devons nous réconcilier’’, ‘‘Ensemble, nous sommes forts’’ sont autant de slogans qui accompagnent cette exposition, déconseillée aux âmes sensibles et aux mineurs du fait de la dureté de certaines images.
En choisissant Duékoué, les photojournalistes ont voulu rendre hommage à cette ville symbole de la cruauté de la crise postélectorale et participer au retour de la paix et de la cohésion sociale dans cette ville, entre populations autochtones Guéré et allochtones Baoulé et malinké.
Cette exposition a vu la participation des autorités de la ville, notamment le maire, le corps préfectoral et la chefferie traditionnelle des différentes communautés.
Après Duékoué, le cap sera mis sur la ville de Divo les 24 et 25 mai prochain