Abidjan – Les promoteurs du festival "Afrik urban arts", consacré à la danse contemporaine, disent être satisfaits de la qualité des spectacles et de l’organisation de la troisième édition mais invitent le gouvernement à soutenir leur initiative qui repositionne la Côte d’Ivoire sur la scène des spectacles urbains de rue.
La troisième édition de ce festival s’est déroulée dans plusieurs communes d’Abidjan et dans les centres culturels allemand et français d’Abidjan du 19 au 24 mai sur le thème "la danse s’invite dans l’espace public".
"En dépit des petits moyens dont nous disposions, les choses se sont très bien passées, il y a eu une très belle organisation, les spectacles étaient beaux et d’un très bon niveau", s’est réjoui lundi le commissaire général, Fred Koenig, interrogé par l’AIP.
Huit pays dont l’Afrique du Sud (invité d’honneur) ont pris part à cette édition. La chorégraphe sud-africaine Sello Pesa a animé un workshop à la place de la Mairie d’Abobo tandis que les spectacles se déroulaient au Goethe institut et à l’Institut français, des "battles dances" étant organisées dans un maquis de la rue princesse de Yopougon.
"Nous avons besoin de l’aide de l’Etat pour améliorer la qualité de ce festival", a plaidé la promotrice, Djenny Mezile.
"Nous avons fait venir l’Afrique du Sud cette année. L’année dernière c’était le Japon et chaque année, depuis trois ans, nous invitons des artistes de sept à huit pays. Nous avons besoin que l’Etat nous aide à les recevoir", a-t-elle souhaité, citant au titre des doléances la dotation de ce festival d’un siège.
"Afrik urban arts" bénéficie du soutien institutionnel de l’organisation internationale de la francophonie (OIF), de Reycon, un mécène belge, du Goethe institut et de l’Institut français de côte d’Ivoire. L’ambassade de l’Haïti en Côte d’Ivoire a apporté son aide à l’organisation de l’édition de cette année, a précisé Mme Mezile.
(AIP)
aaa/kam
La troisième édition de ce festival s’est déroulée dans plusieurs communes d’Abidjan et dans les centres culturels allemand et français d’Abidjan du 19 au 24 mai sur le thème "la danse s’invite dans l’espace public".
"En dépit des petits moyens dont nous disposions, les choses se sont très bien passées, il y a eu une très belle organisation, les spectacles étaient beaux et d’un très bon niveau", s’est réjoui lundi le commissaire général, Fred Koenig, interrogé par l’AIP.
Huit pays dont l’Afrique du Sud (invité d’honneur) ont pris part à cette édition. La chorégraphe sud-africaine Sello Pesa a animé un workshop à la place de la Mairie d’Abobo tandis que les spectacles se déroulaient au Goethe institut et à l’Institut français, des "battles dances" étant organisées dans un maquis de la rue princesse de Yopougon.
"Nous avons besoin de l’aide de l’Etat pour améliorer la qualité de ce festival", a plaidé la promotrice, Djenny Mezile.
"Nous avons fait venir l’Afrique du Sud cette année. L’année dernière c’était le Japon et chaque année, depuis trois ans, nous invitons des artistes de sept à huit pays. Nous avons besoin que l’Etat nous aide à les recevoir", a-t-elle souhaité, citant au titre des doléances la dotation de ce festival d’un siège.
"Afrik urban arts" bénéficie du soutien institutionnel de l’organisation internationale de la francophonie (OIF), de Reycon, un mécène belge, du Goethe institut et de l’Institut français de côte d’Ivoire. L’ambassade de l’Haïti en Côte d’Ivoire a apporté son aide à l’organisation de l’édition de cette année, a précisé Mme Mezile.
(AIP)
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