Le chef d'état-major de l'armée de l'Air du Nigeria, Alex Badeh, a révélé lundi que l'armée nigériane sait où se trouvent les lycéennes enlevées par Boko Haram mais exclut d'utiliser la force pour les sauver.
Le chef d'état-major de l'armée a cependant exclu de lancer une opération militaire, pour des raisons de sécurité. "La bonne nouvelle pour les parents des filles est que nous savons où elles sont, mais nous ne pouvons pas vous le dire, a-t-il annoncé. Mais, là où elles sont détenues, pouvons-nous y aller par la force ? Nous ne pouvons tuer nos filles en essayant de les récupérer", a-t-il ajouté.
Le 14 avril, plus de 250 lycéennes ont été enlevées dans le village de Chibok, dans le nord-est du Nigeria, par la secte islamiste Boko Haram. Leur enlèvement a suscité une vague d'indignation à travers le monde. Plusieurs pays occidentaux ont apporté leur aide au Nigeria pour tenter de les retrouver.
cmas
Le chef d'état-major de l'armée a cependant exclu de lancer une opération militaire, pour des raisons de sécurité. "La bonne nouvelle pour les parents des filles est que nous savons où elles sont, mais nous ne pouvons pas vous le dire, a-t-il annoncé. Mais, là où elles sont détenues, pouvons-nous y aller par la force ? Nous ne pouvons tuer nos filles en essayant de les récupérer", a-t-il ajouté.
Le 14 avril, plus de 250 lycéennes ont été enlevées dans le village de Chibok, dans le nord-est du Nigeria, par la secte islamiste Boko Haram. Leur enlèvement a suscité une vague d'indignation à travers le monde. Plusieurs pays occidentaux ont apporté leur aide au Nigeria pour tenter de les retrouver.
cmas