17 vedettes du cinéma américain, précisément d’Hollywood, village situé à 53 kilomètres de Los Angeles dans l’Etat de Californie, sont attendues à Abidjan à l’occasion de la deuxième édition du Grand prix africain du cinéma, de la télévision et des Tic (GPACT), prévue le 4 juin, dans la capitale économique ivoirienne.
L'arrivée de ses vedettes est, selon Adama Coulibaly dit Arantess de Bonali, Directeur et producteur du Gpact, le signe de la volonté de sa structure de repositionner le cinéma ivoirien (qui célèbre ses 50 ans) et africain au cœur des attractions mondiales.
« Le Gpact a pour vocation de positionner dans le monde entier, le cinéma africain. La célébration des cinquante ans du cinéma ivoirien coïncidant avec la deuxième édition du Gpact, nous impose de marquer ce temps d'arrêt et d'y consacrer un temps spécial et conséquent », a-t-il expliqué.
Pour Arantess de Bonali, cinquante ans dans un cinéma, méritent qu'on marque un temps d'arrêt et de réflexion sur les perspectives et l'évolution du septième art ivoirien. Cette deuxième édition du GPACT se déroulera autour du thème cinéma et éducation.
« Le bilan du cinéma ivoirien est mitigé. Certains pays qui ont débuté le cinéma bien après nous, ont beaucoup évolué et sont mieux classés que notre pays. L'ambiguïté, est que ces pays sont moins nantis que la Côte d'Ivoire. Un paradoxe qui invite à une introspection objective et courageuse pour insuffler une dynamique nouvelle à notre cinéma », a-t-il ajouté, dans un entretien avec APA.
50 personnalités du monde du cinéma ivoirien seront honorées à cette occasion ainsi que des conférences débats sur les contrats de production et le droit des acteurs seront au menu de cette rencontre. La première édition du GPACT tenue en juin 2013 avait réuni plus d'une vingtaine de cinéastes africains.
MC/hs/ls/APA
L'arrivée de ses vedettes est, selon Adama Coulibaly dit Arantess de Bonali, Directeur et producteur du Gpact, le signe de la volonté de sa structure de repositionner le cinéma ivoirien (qui célèbre ses 50 ans) et africain au cœur des attractions mondiales.
« Le Gpact a pour vocation de positionner dans le monde entier, le cinéma africain. La célébration des cinquante ans du cinéma ivoirien coïncidant avec la deuxième édition du Gpact, nous impose de marquer ce temps d'arrêt et d'y consacrer un temps spécial et conséquent », a-t-il expliqué.
Pour Arantess de Bonali, cinquante ans dans un cinéma, méritent qu'on marque un temps d'arrêt et de réflexion sur les perspectives et l'évolution du septième art ivoirien. Cette deuxième édition du GPACT se déroulera autour du thème cinéma et éducation.
« Le bilan du cinéma ivoirien est mitigé. Certains pays qui ont débuté le cinéma bien après nous, ont beaucoup évolué et sont mieux classés que notre pays. L'ambiguïté, est que ces pays sont moins nantis que la Côte d'Ivoire. Un paradoxe qui invite à une introspection objective et courageuse pour insuffler une dynamique nouvelle à notre cinéma », a-t-il ajouté, dans un entretien avec APA.
50 personnalités du monde du cinéma ivoirien seront honorées à cette occasion ainsi que des conférences débats sur les contrats de production et le droit des acteurs seront au menu de cette rencontre. La première édition du GPACT tenue en juin 2013 avait réuni plus d'une vingtaine de cinéastes africains.
MC/hs/ls/APA