Le Front populaire ivoirien (FPI), a salué, lundi, la liberté provisoire accordée, samedi, à 50 proches de l'ancien Chef de l'Etat Laurent Gbagbo, estimant que "le gouvernement est une autorités crédible".
"Nous nous réjouissons du fait que 50 personnes aient recouvré la liberté", a déclaré, Séry Gouagnon, le chargé des droits de l'homme et des libertés au FPI. "Le gouvernement est une autorité crédible (...) Nous attendons qu'il exécute le reste de sa promesse en libérant les autres", a-t-il conclu.
En retour de ces mises en liberté provisoire, le gouvernement a demandé au FPI de lever son mot d'ordre de boycott de l'opération de Recensement général de la population et l'habitat (RGPH). Après un débat "houleux", samedi, le FPI s'est remis à un Comité central extraordinaire pour décider de la levée ou non de ce boycott.
Le FPI, mené par son Président, Pascal Affi N'guessan et le gouvernement conduit par le ministre d'Etat, ministre auprès du président de la République chargé du dialogue politique, Jeannot Ahoussou Kouadio, ont repris le dialogue politique, le jeudi 22 mai dernier.
LS/APA
"Nous nous réjouissons du fait que 50 personnes aient recouvré la liberté", a déclaré, Séry Gouagnon, le chargé des droits de l'homme et des libertés au FPI. "Le gouvernement est une autorité crédible (...) Nous attendons qu'il exécute le reste de sa promesse en libérant les autres", a-t-il conclu.
En retour de ces mises en liberté provisoire, le gouvernement a demandé au FPI de lever son mot d'ordre de boycott de l'opération de Recensement général de la population et l'habitat (RGPH). Après un débat "houleux", samedi, le FPI s'est remis à un Comité central extraordinaire pour décider de la levée ou non de ce boycott.
Le FPI, mené par son Président, Pascal Affi N'guessan et le gouvernement conduit par le ministre d'Etat, ministre auprès du président de la République chargé du dialogue politique, Jeannot Ahoussou Kouadio, ont repris le dialogue politique, le jeudi 22 mai dernier.
LS/APA