L’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a octroyé 178 millions de F Cfa (environ 300 000 euros) à la Côte d’ivoire pour l’accroissement de la production halieutique, a indiqué samedi à Abidjan l’expert national de cette organisation en charge des ressources animales et halieutiques, Dognipo Coulibaly.
Selon M. Coulibaly qui accordait un entretien aux médias, il s’agit de renforcer les acteurs de la pêche en vue de dynamiser cette filière.
"La production nationale en poisson est de 44 000 tonnes alors qu’il y a un besoin de plus de 360 000 tonnes. Il y adonc un gap", a-t-il fait remarquer.
Selon lui, l’accompagnement de la FAO permettra de mener plusieurs actions telles que la régénération des espèces halieutiques, le renforcement de l’organisation des coopératives de pêche et la maîtrise des techniques de pêche et de conservation.
Le secteur des ressources animales et halieutiques offre d’énormes potentialités de développement en Côte d’Ivoire, selon une étude des experts. A en croire ceux-ci, les atouts naturels sont "considérables" avec 150.000 ha de lagunes, 350.000 ha de lacs et de nombreux bas-fonds propices à l’implantation d’exploitations aquacoles.
Toutefois, malgré ses potentialités, la Côte d’Ivoire fait preuve d’une "faible productivité" en matière de poisson.
Devant ce fait, les autorités se sont engagées à mettre en place des mesures incitatives dans la perspective d’atteindre l’autosuffisance en matière de poisson.
Selon M. Coulibaly qui accordait un entretien aux médias, il s’agit de renforcer les acteurs de la pêche en vue de dynamiser cette filière.
"La production nationale en poisson est de 44 000 tonnes alors qu’il y a un besoin de plus de 360 000 tonnes. Il y adonc un gap", a-t-il fait remarquer.
Selon lui, l’accompagnement de la FAO permettra de mener plusieurs actions telles que la régénération des espèces halieutiques, le renforcement de l’organisation des coopératives de pêche et la maîtrise des techniques de pêche et de conservation.
Le secteur des ressources animales et halieutiques offre d’énormes potentialités de développement en Côte d’Ivoire, selon une étude des experts. A en croire ceux-ci, les atouts naturels sont "considérables" avec 150.000 ha de lagunes, 350.000 ha de lacs et de nombreux bas-fonds propices à l’implantation d’exploitations aquacoles.
Toutefois, malgré ses potentialités, la Côte d’Ivoire fait preuve d’une "faible productivité" en matière de poisson.
Devant ce fait, les autorités se sont engagées à mettre en place des mesures incitatives dans la perspective d’atteindre l’autosuffisance en matière de poisson.