L’Agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR) a procédé, mercredi à Bouaké, au lancement d’une campagne de sensibilisation des populations sur la gestion durable et écologique des déchets, dans le cadre du programme de sensibilisation, d’éducation et de conseil de la composante 4 du projet de professionnalisation de la filière des déchet solides ménagers.
Cinquante agents sensibilisateurs, formés aux techniques d’approches pour la sensibilisation, seront déployés dans les quartiers et feront du porte-à-porte, durant vingt jours, dans au moins cinq mille ménages et recueilleront leurs préoccupations et leur avis sur le mode de gestion des ordures.
La porte-parole des agents sensibilisateurs, Mme Lowson Séba, a promis de mettre à profit les connaissances acquises et de transmettre fidèlement les messages appropriés aux populations cibles.
Le coordonateur national du projet, M. Séhi Bi Koué Alphonse, qui compare les déchets ménagers à de l’’’or’’, a souligné qu’on peut les gérer autrement, sans avoir besoin de les jeter n’importe où et n’importe comment, parce qu’ils constituent une source de matières premières transformables en d’autres produits.
L’objectif étant de favoriser l’adhésion des acteurs et des populations dans la mise en œuvre du projet «Gestion participative des déchets et création d’emplois», M. Séhi Bi a invité les autorités locales à y adhérer. Car, a-t-il ajouté, la filière des déchets ménagers peut employer au moins 6% de la population, si elle est professionnalisée.
La secrétaire de la préfecture, Mme Loboué née Michelle Hortense Amani, considère cette campagne comme un appel à toutes les populations afin de prendre conscience du désordre qui règne dans leur cité. «Nous devons, autant que nous sommes, nous approprier ce projet», a-t-elle recommandé.
Au nom du maire Djibo Yousouf Nicolas, la 6e adjointe, Mme Korotoumou Diomandé, a promis le soutien de la municipalité à ce projet, parce que non seulement l’avenir de la ville de Bouaké en dépend, mais également la gestion des déchets occupe une place de choix dans le programme de la mairie.
Une campagne de sensibilisation similaire a été lancée la semaine dernière à Korhogo, dans le cadre du même projet.
Nbf/kkp/tm
Cinquante agents sensibilisateurs, formés aux techniques d’approches pour la sensibilisation, seront déployés dans les quartiers et feront du porte-à-porte, durant vingt jours, dans au moins cinq mille ménages et recueilleront leurs préoccupations et leur avis sur le mode de gestion des ordures.
La porte-parole des agents sensibilisateurs, Mme Lowson Séba, a promis de mettre à profit les connaissances acquises et de transmettre fidèlement les messages appropriés aux populations cibles.
Le coordonateur national du projet, M. Séhi Bi Koué Alphonse, qui compare les déchets ménagers à de l’’’or’’, a souligné qu’on peut les gérer autrement, sans avoir besoin de les jeter n’importe où et n’importe comment, parce qu’ils constituent une source de matières premières transformables en d’autres produits.
L’objectif étant de favoriser l’adhésion des acteurs et des populations dans la mise en œuvre du projet «Gestion participative des déchets et création d’emplois», M. Séhi Bi a invité les autorités locales à y adhérer. Car, a-t-il ajouté, la filière des déchets ménagers peut employer au moins 6% de la population, si elle est professionnalisée.
La secrétaire de la préfecture, Mme Loboué née Michelle Hortense Amani, considère cette campagne comme un appel à toutes les populations afin de prendre conscience du désordre qui règne dans leur cité. «Nous devons, autant que nous sommes, nous approprier ce projet», a-t-elle recommandé.
Au nom du maire Djibo Yousouf Nicolas, la 6e adjointe, Mme Korotoumou Diomandé, a promis le soutien de la municipalité à ce projet, parce que non seulement l’avenir de la ville de Bouaké en dépend, mais également la gestion des déchets occupe une place de choix dans le programme de la mairie.
Une campagne de sensibilisation similaire a été lancée la semaine dernière à Korhogo, dans le cadre du même projet.
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