Abidjan – Le directeur de cabinet du ministère de la Culture et de la Francophonie, Dembélé Faussény, a officiellement lancé jeudi à Abidjan, les cérémonies marquant la 21ème édition de la Fête de la musique sous le thème de « Musique, économie et identité culturelle » qui connaîtra, cette année, une innovation avec une exposition sur l’industrie musicale à la Cité administrative (Plateau, Abidjan).
Célébrée le 21 juin, la Fête de la musique le sera cette année du 19 au 22 juin en Côte d’Ivoire.
Selon M. Dembélé, la musique peut occuper une place de choix dans le développement économique d’un pays, si elle est bien exploitée. « Je salue la tenue de cette 21ème édition qui nous permet de célébrer cet art de portée universelle mais aussi de mener des réflexions sur la contribution de la musique à l’économie nationale », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse qu’il animait, en prélude à l’événement, au cabinet ministériel.
A travers cette édition, le ministère de la Culture veut « montrer que la musique constitue aujourd’hui un produit culturel, pilier du développement économique, mais aussi et surtout un support par lequel se raconte un système de valeurs, une identité, une conception du monde », a-t-il indiqué.
Des réflexions seront menées à cet effet sur les musiques du patrimoine dans nos sociétés contemporaines et leur adaptation à l’évolution technologique et la jeunesse sensibilisée à la pratique musicale.
Animation dans les rues, concerts et spectacles au complexe sportif de Koumassi, au canal aux bois de Treichville, à l’Institut français d’Abidjan, dans les communes d’Abidjan et de l’intérieur du pays sont au programme de cette Fête de la musique initiée par l’ancien ministre français de la Culture, Jack Lang.
L’une des autres innovations de cette édition concerne l’organisation du concert de clôture à Grand-Bassam.
(AIP)
aaa/cmas
Célébrée le 21 juin, la Fête de la musique le sera cette année du 19 au 22 juin en Côte d’Ivoire.
Selon M. Dembélé, la musique peut occuper une place de choix dans le développement économique d’un pays, si elle est bien exploitée. « Je salue la tenue de cette 21ème édition qui nous permet de célébrer cet art de portée universelle mais aussi de mener des réflexions sur la contribution de la musique à l’économie nationale », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse qu’il animait, en prélude à l’événement, au cabinet ministériel.
A travers cette édition, le ministère de la Culture veut « montrer que la musique constitue aujourd’hui un produit culturel, pilier du développement économique, mais aussi et surtout un support par lequel se raconte un système de valeurs, une identité, une conception du monde », a-t-il indiqué.
Des réflexions seront menées à cet effet sur les musiques du patrimoine dans nos sociétés contemporaines et leur adaptation à l’évolution technologique et la jeunesse sensibilisée à la pratique musicale.
Animation dans les rues, concerts et spectacles au complexe sportif de Koumassi, au canal aux bois de Treichville, à l’Institut français d’Abidjan, dans les communes d’Abidjan et de l’intérieur du pays sont au programme de cette Fête de la musique initiée par l’ancien ministre français de la Culture, Jack Lang.
L’une des autres innovations de cette édition concerne l’organisation du concert de clôture à Grand-Bassam.
(AIP)
aaa/cmas