Man – Un collectif de femmes leaders et responsables d’association de la région du Tonkpi a mis en place, samedi, une cellule régionale du Réseau ivoirien des femmes pour la réconciliation nationale, une inspiration de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR).
La cellule régionale du Réseau national des femmes pour la réconciliation du Tonkpi a été portée sur les fonts baptismaux par huit organisations féminines. Elle a pour coordonnatrice, Mme Géï Marie Clémentine, secrétaire générale de la CDVR à Man.
Dans son exposé liminaire, Guéï Clémentine a indiqué que les femmes sont les plus affectées par les crises d’abord en tant que mères puis en tant qu'épouses. Aussi, les femmes sont-elles aptes et disposées à promouvoir le pardon et la réconciliation car il y va de leur intérêt, a-t-elle ajouté.
« C’est cette prédisposition des femmes à comprendre la nécessité de faire la paix qu’a perçu la CDVR pour susciter le Réseau ivoirien des femmes pour la réconciliation nationale », a insisté Mme Guéï, invitant ses sœurs à s’engager résolument dans la sensibilisation et la mobilisation pour la réconciliation et la paix.
(AIP)
gem/cmas
La cellule régionale du Réseau national des femmes pour la réconciliation du Tonkpi a été portée sur les fonts baptismaux par huit organisations féminines. Elle a pour coordonnatrice, Mme Géï Marie Clémentine, secrétaire générale de la CDVR à Man.
Dans son exposé liminaire, Guéï Clémentine a indiqué que les femmes sont les plus affectées par les crises d’abord en tant que mères puis en tant qu'épouses. Aussi, les femmes sont-elles aptes et disposées à promouvoir le pardon et la réconciliation car il y va de leur intérêt, a-t-elle ajouté.
« C’est cette prédisposition des femmes à comprendre la nécessité de faire la paix qu’a perçu la CDVR pour susciter le Réseau ivoirien des femmes pour la réconciliation nationale », a insisté Mme Guéï, invitant ses sœurs à s’engager résolument dans la sensibilisation et la mobilisation pour la réconciliation et la paix.
(AIP)
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