La défense de l’ancien Président ivoirien Laurent Gbagbo a demandé, lundi, à la Chambre Préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI) que le délai de cinq jours qu’ont les parties pour demander l'autorisation d'interjeter appel de la décision de confirmation des charges ne courre qu’après la notification de la version française de cette décision et de l’opinion dissidente.
Selon un communiqué transmis à APA par la CPI, « il revient désormais à la Chambre préliminaire I d'examiner cette demande » des avocats de l'ancien chef de l'Etat ivoirien.
La Chambre préliminaire I a confirmé, jeudi, à la majorité, quatre charges de crimes contre l'humanité (meurtre, viol, autres actes inhumains ou-à titre subsidiaire-tentative de meurtre, et persécution) à l'encontre de Laurent Gbagbo et l'a renvoyé en procès devant une chambre de première instance.
« Sous réserve du droit du Procureur et de la Défense de demander l'autorisation d'interjeter appel, la Présidence de la CPI constituera une chambre de première instance en temps utile », ajoute le communiqué.
LS/APA
Selon un communiqué transmis à APA par la CPI, « il revient désormais à la Chambre préliminaire I d'examiner cette demande » des avocats de l'ancien chef de l'Etat ivoirien.
La Chambre préliminaire I a confirmé, jeudi, à la majorité, quatre charges de crimes contre l'humanité (meurtre, viol, autres actes inhumains ou-à titre subsidiaire-tentative de meurtre, et persécution) à l'encontre de Laurent Gbagbo et l'a renvoyé en procès devant une chambre de première instance.
« Sous réserve du droit du Procureur et de la Défense de demander l'autorisation d'interjeter appel, la Présidence de la CPI constituera une chambre de première instance en temps utile », ajoute le communiqué.
LS/APA