Dimbokro – La deuxième édition de la fête de la musique célébrée, samedi, à Dimbokro, a été l’occasion, pour la directrice régionale de la Culture et de la Francophonie, Mme Guéi Zranssah Euphraqsie et ses invités conduits par le sous-préfet Yapo Assamoi Stéphane, de prôner la cohésion sociale, « socle d’un développement durable ».
Selon Mme Guéi, la direction régionale de la Culture et de la Francophonie du N’Zi s’est engagée à organiser cette célébration locale de la fête de la musique pour mieux faire connaître le patrimoine culturel musical de la région mais aussi pour donner l’opportunité à toutes les habitants de Dimbokro de communier car la musique est un facteur de cohésion sociale et de paix, gage de tout développement durable.
« Je voudrais exhorter tout le monde à prendre une part active dans la promotion, la valorisation, la protection et la conservation de ce patrimoine culturel immatériel très fragile », a plaidé Mme Guéi Zranssah Euphrasie.
A l’endroit du président de cette cérémonie, Koffi N’Dri Mathieu, « fils de Dimbokro et grand amateur de la musique », la première responsable régionale de la Culture et de la Francophonie a souligné le caractère « strictement culturel de sa présence » à cette fête.
« Que votre présence au milieu de vos petits frères soit comprise, simplement, comme l’expression de votre volonté de communier avec eux à l’occasion de cette commémoration », lui a-t-elle dit.
Puis elle a salué, par ailleurs, la mobilisation et l’implication des artistes tant locaux que ceux venus d’ailleurs dans l’organisation de la deuxième édition de la fête de la musique, sous son impulsion.
Danses traditionnelles et modernes, chorégraphie et interprétations musicales assurées par l’orchestre "Dimbo Star" ont meublé cette deuxième édition de la fête de la musique à Dimbokro. Un concerto a eu lieu jusque tard dans la nuit.
Autour du microphone, les invités (le représentant du président du conseil régional, du maire, le représentant des chefs traditionnels, le président de la cérémonie) conduits par le sous-préfet de Dimbokro représentant le préfet de la région du N’Zi et du département de Dimbokro, ainsi que la DR de Culture et de la Francophonie, ont chanté, tour à tour, pour la cohésion sociale et la réconciliation à Dimbokro.
La fête de la musique est une manifestation culturelle créée en France en 1982 par le ministre socialiste de la Culture d’alors, Jack Lang. Elle est célébrée le 21 juin de chaque année dans le monde.
Cette année, cette fête mondiale se tient autour du thème « Musique, économie et identité culturelle », thème dont Gooré Michel, artiste poète, dramaturge, plasticien et metteur en scène, a développé l’aspect "Identité culturelle", le limitant au cas ivoirien.
Gooré Michel a fait la genèse de la musique ivoirienne pour conclure que le "Zouglou" incarne « valablement et durablement l’identité culturelle de la Côte d’Ivoire. « Il a anéanti toutes influences étrangères, s’exporte bien et a une portée sur l’extérieur », a-t-il résumé.
(AIP)
zgrp/cmas
Selon Mme Guéi, la direction régionale de la Culture et de la Francophonie du N’Zi s’est engagée à organiser cette célébration locale de la fête de la musique pour mieux faire connaître le patrimoine culturel musical de la région mais aussi pour donner l’opportunité à toutes les habitants de Dimbokro de communier car la musique est un facteur de cohésion sociale et de paix, gage de tout développement durable.
« Je voudrais exhorter tout le monde à prendre une part active dans la promotion, la valorisation, la protection et la conservation de ce patrimoine culturel immatériel très fragile », a plaidé Mme Guéi Zranssah Euphrasie.
A l’endroit du président de cette cérémonie, Koffi N’Dri Mathieu, « fils de Dimbokro et grand amateur de la musique », la première responsable régionale de la Culture et de la Francophonie a souligné le caractère « strictement culturel de sa présence » à cette fête.
« Que votre présence au milieu de vos petits frères soit comprise, simplement, comme l’expression de votre volonté de communier avec eux à l’occasion de cette commémoration », lui a-t-elle dit.
Puis elle a salué, par ailleurs, la mobilisation et l’implication des artistes tant locaux que ceux venus d’ailleurs dans l’organisation de la deuxième édition de la fête de la musique, sous son impulsion.
Danses traditionnelles et modernes, chorégraphie et interprétations musicales assurées par l’orchestre "Dimbo Star" ont meublé cette deuxième édition de la fête de la musique à Dimbokro. Un concerto a eu lieu jusque tard dans la nuit.
Autour du microphone, les invités (le représentant du président du conseil régional, du maire, le représentant des chefs traditionnels, le président de la cérémonie) conduits par le sous-préfet de Dimbokro représentant le préfet de la région du N’Zi et du département de Dimbokro, ainsi que la DR de Culture et de la Francophonie, ont chanté, tour à tour, pour la cohésion sociale et la réconciliation à Dimbokro.
La fête de la musique est une manifestation culturelle créée en France en 1982 par le ministre socialiste de la Culture d’alors, Jack Lang. Elle est célébrée le 21 juin de chaque année dans le monde.
Cette année, cette fête mondiale se tient autour du thème « Musique, économie et identité culturelle », thème dont Gooré Michel, artiste poète, dramaturge, plasticien et metteur en scène, a développé l’aspect "Identité culturelle", le limitant au cas ivoirien.
Gooré Michel a fait la genèse de la musique ivoirienne pour conclure que le "Zouglou" incarne « valablement et durablement l’identité culturelle de la Côte d’Ivoire. « Il a anéanti toutes influences étrangères, s’exporte bien et a une portée sur l’extérieur », a-t-il résumé.
(AIP)
zgrp/cmas