ABIDJAN -- Au total 34.000 ex-combattants de la crise post-électorale de 2010 en Côte d’Ivoire attendent d’être pris en compte par le programme de désarmement, de démobilisation et de réinsertion mis en place par le gouvernement ivoirien.
Selon des chiffres de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR), "ce sont environ 30.000 ex-combattants qui ont été déjà réintégrés dans le tissu socio- économique" sur un total global de 64.000 personnes recensées. L’ADDR indique également avoir collecté "à la date du 16 juin, 15 567 armes toutes catégories confondues".
Les ex-combattants sont issus majoritairement des Forces nouvelles (ex rébellion armée du Nord, pro-Ouattara) qui ont coupé littéralement le pays en deux entre 2002 et 2010.
Au plus fort de la crise née de l’élection présidentielle de novembre 2010, de milliers d’autres jeunes Ivoiriens ont pris les armes pour combattre soit aux côtés des forces favorables à l’ex président Laurent Gbagbo soit aux côtés de celles proches de son rival Alassane Ouattara.
L’ADDR estime à 64.000 les jeunes à prendre en compte dans le programme de désarmement, de démobilisation et de réinsertion socio-économique dont le coût est évalué à 92 milliards de francs CFA.
Près de 10% des ex-combattants ont intégré des services militaires et paramilitaires et les autres ont reçu ou attendent de recevoir des financements pour la création d’activités génératrices de revenus.
L’ADDR entend réinsérer au cours de cette année, les 34.000 ex- combattants restants et terminer sa mission en 2015.
Des ex-combattants ont été très souvent cités dans l’insécurité grandissante en Côte d’Ivoire avec l’activisme des "coupeurs de route", ces bandits de grand chemin qui opèrent sur les principaux axes routiers du pays.
A l’approche des échéances électorales de 2015, le désarmement et la réinsertion des ex-combattants se présentent comme un gage de la consolidation de la paix et de la stabilité en Côte d’Ivoire.
Selon des chiffres de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR), "ce sont environ 30.000 ex-combattants qui ont été déjà réintégrés dans le tissu socio- économique" sur un total global de 64.000 personnes recensées. L’ADDR indique également avoir collecté "à la date du 16 juin, 15 567 armes toutes catégories confondues".
Les ex-combattants sont issus majoritairement des Forces nouvelles (ex rébellion armée du Nord, pro-Ouattara) qui ont coupé littéralement le pays en deux entre 2002 et 2010.
Au plus fort de la crise née de l’élection présidentielle de novembre 2010, de milliers d’autres jeunes Ivoiriens ont pris les armes pour combattre soit aux côtés des forces favorables à l’ex président Laurent Gbagbo soit aux côtés de celles proches de son rival Alassane Ouattara.
L’ADDR estime à 64.000 les jeunes à prendre en compte dans le programme de désarmement, de démobilisation et de réinsertion socio-économique dont le coût est évalué à 92 milliards de francs CFA.
Près de 10% des ex-combattants ont intégré des services militaires et paramilitaires et les autres ont reçu ou attendent de recevoir des financements pour la création d’activités génératrices de revenus.
L’ADDR entend réinsérer au cours de cette année, les 34.000 ex- combattants restants et terminer sa mission en 2015.
Des ex-combattants ont été très souvent cités dans l’insécurité grandissante en Côte d’Ivoire avec l’activisme des "coupeurs de route", ces bandits de grand chemin qui opèrent sur les principaux axes routiers du pays.
A l’approche des échéances électorales de 2015, le désarmement et la réinsertion des ex-combattants se présentent comme un gage de la consolidation de la paix et de la stabilité en Côte d’Ivoire.