Le Ministère de la Santé et de Lutte contre le Sida et le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) ont organisé de jeudi à samedi à San Pedro une session de renforcement des capacités de 25 cadres nationaux des régions sanitaires de San Pedro, la Nawa, et de Divo sur le dispositif d’urgence en santé de la reproduction.
Selon le ministère de la santé et l’UNFPA, cette formation s’inscrit dans le cadre des mesures de prévention et de prise en charge en situation d’urgence des populations en matière de santé de la reproduction, à l’occasion du déguerpissement prévu des occupants illégaux du Mont Péko (Ouest), et de certains parcs nationaux.
« Quand les populations sont déplacées dans une situation de crise liée à un phénomène naturel ou à un conflit armé, 65% sont des femmes et des enfants, et au niveau des populations déplacées l’on enregistre général 4% de naissance », souligne-t-on.
Selon l’un des formateur à l’atelier, Dr Téki Moïse, face à cette réalité « les participants ont été formés à répondre avec promptitude à toutes crises de violences ou de catastrophes naturelles par une gestion plus rationnelle des dispositifs d’urgence liés aux activités sexuelles, notamment les cas de grossesses, viols, les IST, le VIH/Sida ».
Les 25 participants formés sont des infirmiers, sages-femmes, médecins et animateurs d’ONG, exerçant dans des régions à potentiels risques de violence et de déplacement des populations.
Ils viennent des régions sanitaires de San Pedro (Tabou, Grabo), du Gbôklè (Sassandra), de la Nawa (Soubré, Méagui), et de Divo.
Selon des participants à l’atelier, notamment la sage-femme du centre de santé rural de Sécréké dans le district sanitaire de Tabou, Koné Emma, et l’infirmier du Centre de santé Urbain de Grabo, Diabo Abobo, cette formation leur a permis de savoir désormais planifier la prise en charge des populations vulnérables en matière de santé de la reproduction.
Ils ont indiqué savoir dorénavant comment rentrer rapidement en possession des kits de santé fournis par l’UNFPA pour la prise en charge des femmes et jeunes filles en grossesse ou victimes de viol, et mettre à la disposition des populations déplacées des préservatifs.
jmk/ask
Selon le ministère de la santé et l’UNFPA, cette formation s’inscrit dans le cadre des mesures de prévention et de prise en charge en situation d’urgence des populations en matière de santé de la reproduction, à l’occasion du déguerpissement prévu des occupants illégaux du Mont Péko (Ouest), et de certains parcs nationaux.
« Quand les populations sont déplacées dans une situation de crise liée à un phénomène naturel ou à un conflit armé, 65% sont des femmes et des enfants, et au niveau des populations déplacées l’on enregistre général 4% de naissance », souligne-t-on.
Selon l’un des formateur à l’atelier, Dr Téki Moïse, face à cette réalité « les participants ont été formés à répondre avec promptitude à toutes crises de violences ou de catastrophes naturelles par une gestion plus rationnelle des dispositifs d’urgence liés aux activités sexuelles, notamment les cas de grossesses, viols, les IST, le VIH/Sida ».
Les 25 participants formés sont des infirmiers, sages-femmes, médecins et animateurs d’ONG, exerçant dans des régions à potentiels risques de violence et de déplacement des populations.
Ils viennent des régions sanitaires de San Pedro (Tabou, Grabo), du Gbôklè (Sassandra), de la Nawa (Soubré, Méagui), et de Divo.
Selon des participants à l’atelier, notamment la sage-femme du centre de santé rural de Sécréké dans le district sanitaire de Tabou, Koné Emma, et l’infirmier du Centre de santé Urbain de Grabo, Diabo Abobo, cette formation leur a permis de savoir désormais planifier la prise en charge des populations vulnérables en matière de santé de la reproduction.
Ils ont indiqué savoir dorénavant comment rentrer rapidement en possession des kits de santé fournis par l’UNFPA pour la prise en charge des femmes et jeunes filles en grossesse ou victimes de viol, et mettre à la disposition des populations déplacées des préservatifs.
jmk/ask