Nicolas Sarkozy, l’ex-président de la république française, a été placé en garde vue, mardi, à l’Office anticorruption de la police judiciaire, annoncent plusieurs médias français.
Selon ces sources, l'audition de l'ancien chef de l'Etat français (2007-2012) pourrait durer 24 heures avec un « éventuel renouvellement » une fois.
Nicolas Sarkozy pourra bénéficier d'une relaxe « sans poursuites » ou être « présenté » à un juge d'instruction pour une « mise en examen » si le magistrat le « juge nécessaire ».
L'ex-président français est poursuivi pour « trafic d'influence » et « violation du secret de l'instruction ». Une affaire pour laquelle une information judiciaire avait été ouverte en février 2014.
Après sa mise en examen dans l'affaire Bettencourt par la justice bordelaise avant de bénéficier d'un « non-lieu », Nicolas Sarkozy que l'opinion française soupçonne de reprendre en mains les rênes de son parti, l'Union de la majorité présidentielle (UMP) pour signer son retour sur la scène politique, est aux mains de la police judiciaire à Nanterre (banlieue à l'Ouest de Paris).
Les enquêteurs, selon les médias français, cherchent à établir si M. Sarkozy a tenté d'obtenir des « informations auprès d'un magistrat de haut rang, Gilbert Azibert, sur une décision de justice le concernant, en échange de la promesse d'un poste ».
HS/ls/APA
Selon ces sources, l'audition de l'ancien chef de l'Etat français (2007-2012) pourrait durer 24 heures avec un « éventuel renouvellement » une fois.
Nicolas Sarkozy pourra bénéficier d'une relaxe « sans poursuites » ou être « présenté » à un juge d'instruction pour une « mise en examen » si le magistrat le « juge nécessaire ».
L'ex-président français est poursuivi pour « trafic d'influence » et « violation du secret de l'instruction ». Une affaire pour laquelle une information judiciaire avait été ouverte en février 2014.
Après sa mise en examen dans l'affaire Bettencourt par la justice bordelaise avant de bénéficier d'un « non-lieu », Nicolas Sarkozy que l'opinion française soupçonne de reprendre en mains les rênes de son parti, l'Union de la majorité présidentielle (UMP) pour signer son retour sur la scène politique, est aux mains de la police judiciaire à Nanterre (banlieue à l'Ouest de Paris).
Les enquêteurs, selon les médias français, cherchent à établir si M. Sarkozy a tenté d'obtenir des « informations auprès d'un magistrat de haut rang, Gilbert Azibert, sur une décision de justice le concernant, en échange de la promesse d'un poste ».
HS/ls/APA