Gagnoa – Amoi Christian Désiré, environ la quarantaine, employé à la Caisse nationale des caisses d'épargne (CNCE) de Gagnoa, a été condamné mardi à 18 mois de prison ferme et à 100.000 FCFA d'amende par le tribunal de première instance de la ville, pour "détournement de fonds" portant sur la somme de 26 millions de FCFA et "faux en écriture privée".
Reconnu coupable des faits délictueux mis à sa charge, par les juges statuant en premier ressort et en matière de flagrant délit, M. Amoi en outre payer la somme de 40 millions de FCFA à son employeur, la CNCE, qui s'est constituée partie civile.
A l'origine des faits, cet agent de la CNCE de Gagnoa s'emploie sur une bonne période à garder par-devers lui les versements des clients à son guichet. Des sous qui lui permettaient de faire la belle vie dans la cité du fromager, où il s'est taillé une réputation de grand noceur, bien connu dans les débits de boisson et autres bars climatisés les plus prisés de la place.
Manque de pot pour lui, comme le dit-on, au détour d'une mission de contrôle, le pot-aux-roses est découvert.
A la barre le prévenu ne fait aucune difficulté à reconnaitre les faits qui lui sont reprochés. Le tribunal décide alors de l'emmener séjourner à la maison d'arrêt et de correction de Gagnoa pendant un an et demi.
(AIP)
ja/tm
Reconnu coupable des faits délictueux mis à sa charge, par les juges statuant en premier ressort et en matière de flagrant délit, M. Amoi en outre payer la somme de 40 millions de FCFA à son employeur, la CNCE, qui s'est constituée partie civile.
A l'origine des faits, cet agent de la CNCE de Gagnoa s'emploie sur une bonne période à garder par-devers lui les versements des clients à son guichet. Des sous qui lui permettaient de faire la belle vie dans la cité du fromager, où il s'est taillé une réputation de grand noceur, bien connu dans les débits de boisson et autres bars climatisés les plus prisés de la place.
Manque de pot pour lui, comme le dit-on, au détour d'une mission de contrôle, le pot-aux-roses est découvert.
A la barre le prévenu ne fait aucune difficulté à reconnaitre les faits qui lui sont reprochés. Le tribunal décide alors de l'emmener séjourner à la maison d'arrêt et de correction de Gagnoa pendant un an et demi.
(AIP)
ja/tm
