Abidjan - Le groupe des organisations féminines pour l’égalité femmes/hommes dans tous les secteurs, par l’entremise de Rachel Gogoua, a fait savoir lundi, lors d’une conférence de presse à Abidjan, qu’il souhaite autant de femmes que d’hommes au sein du nouveau bureau de la Commission électorale indépendante (CEI) avec en sus une femme pour présider l'institution.
« Nous osons croire que le nouveau bureau de la CEI qui va être mis en place comportera trois femmes et trois hommes avec une femme à la présidence », a affirmé Mme Gogoua qui a ajouté que la société civile plaide pour que leur représentante à la CEI, en la personne de Mme Koné Yoli-Bi marguerite," eu égard à ses qualités et ses compétences, assure sinon la présidence de cette nouvelle institution, sinon au moins un poste de vice-présidente pour influencer significativement les prochaines élections ».
Relevant que sur les 15 membres déjà désignés à la CEI, quatre sont des femmes, la conférencière a souhaité que sur les deux places qui restent à pourvoir « au moins une » revienne à « une femme ».
« Choisir une femme n’est pas une faveur, mais plutôt un droit que la constitution ivoirienne et les instruments juridiques internationaux, régionaux, auxquels la Côte d’Ivoire est partie, leur garantissent », a-t-elle ajouté, expliquant que mettre une femme à la tête de la CEI aidera à " atténuer les ardeurs confligènes des hommes et aider à déclarer le réel vainqueur " des prochaine élections présidentielles de 2015.
La nouvelle CEI, adoptée le 28 mai par l’Assemblée nationale et promulguée le 18 juin par le chef de l’Etat, est composée de 17 membres dont quatre pour le groupement des partis au pouvoir, quatre pour ceux de l’opposition, quatre pour la société civile, quatre pour l’administration et un représentant du président de la République.
Pour l’instant, 15 membres de cette structure chargée de superviser l’organisation des élections ont été nommés le 9 juillet par le Président Alassane Ouattara, au cours d’un conseil des ministres.
Les deux postes à pourvoir reviennent à l’opposition politique, à savoir le Front populaire ivoirien (FPI) et l’Alliance des forces démocratiques (AFD), rappelle-t-on.
(AIP)
amak/kkp/tm
« Nous osons croire que le nouveau bureau de la CEI qui va être mis en place comportera trois femmes et trois hommes avec une femme à la présidence », a affirmé Mme Gogoua qui a ajouté que la société civile plaide pour que leur représentante à la CEI, en la personne de Mme Koné Yoli-Bi marguerite," eu égard à ses qualités et ses compétences, assure sinon la présidence de cette nouvelle institution, sinon au moins un poste de vice-présidente pour influencer significativement les prochaines élections ».
Relevant que sur les 15 membres déjà désignés à la CEI, quatre sont des femmes, la conférencière a souhaité que sur les deux places qui restent à pourvoir « au moins une » revienne à « une femme ».
« Choisir une femme n’est pas une faveur, mais plutôt un droit que la constitution ivoirienne et les instruments juridiques internationaux, régionaux, auxquels la Côte d’Ivoire est partie, leur garantissent », a-t-elle ajouté, expliquant que mettre une femme à la tête de la CEI aidera à " atténuer les ardeurs confligènes des hommes et aider à déclarer le réel vainqueur " des prochaine élections présidentielles de 2015.
La nouvelle CEI, adoptée le 28 mai par l’Assemblée nationale et promulguée le 18 juin par le chef de l’Etat, est composée de 17 membres dont quatre pour le groupement des partis au pouvoir, quatre pour ceux de l’opposition, quatre pour la société civile, quatre pour l’administration et un représentant du président de la République.
Pour l’instant, 15 membres de cette structure chargée de superviser l’organisation des élections ont été nommés le 9 juillet par le Président Alassane Ouattara, au cours d’un conseil des ministres.
Les deux postes à pourvoir reviennent à l’opposition politique, à savoir le Front populaire ivoirien (FPI) et l’Alliance des forces démocratiques (AFD), rappelle-t-on.
(AIP)
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