La Commission électorale indépendante (CEI), dans sa configuration actuelle, n’intéresse pas le Fpi et ses alliés. Pascal Affi N’Guessan l’a souligné, samedi dernier, face aux fédéraux. « Si la CEI reste en l’état, nous n’y entrerons pas. Nous demandons la révision du texte fondateur de la CEI. Dans le cas contraire, il faut donner sa présidence et des postes de vice-présidence à l’opposition », a-t-il souligné. Selon lui, il est inacceptable que le Fpi et ses alliés entrent dans cette CEI contrôlée par le pouvoir pour faire de la figuration.
B.K.
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