« Aux jeunes si l’un d’entre eux a des vertiges à l’enseignement général, l’enseignement professionnel est à sa portée afin qu’il puisse retrouver sa lucidité en apprenant un métier de son choix » .c’est en ces termes que Yéo Adama fondateur de la première école laïque de formation professionnelle en sanitaire social après les centres techniques féminins des villes de Bouaké, Agboville et Port Bouet ( Abidjan) s’est adressé aux jeunes issus d’associations diverses lors d’un exposé sur les potentialités de l’enseignement technique et professionnel.
C’était le 21 juillet 2014 au sein de l’établissement scolaire situé au quartier ‘’cité des médecins’’ de la commune de korhogo au nord de la Côte d ‘Ivoire.
En effet le centre d’enseignement technique, d’animation rurale et d’insertion sociale (SIRATEC) qui se lit de la droite vers la gauche dont il est le fondateur a fait 100% d’admis en sanitaire social aux examens scolaires de fin d’année de 2013-2014 soit 106 candidats présentés et 106 admis. D’où l’approche de la jeunesse.
L’inspiration a-t-il précisé « m’est venue après de nombreuses années passés dans la grande famille de l’éducation nationale en tant qu ‘éducateur-conseiller d’orientation de créer un établissement de formation professionnelle pouvant absorber le rejet de nombreux élèves à partir de la classe de 3è à la classe de seconde afin qu’ils puissent trouver une place au soleil par la formation car l’enseignement général n’était pas la seule porte de sortie… » a dit Yéo.
Il a ensuite exhorté les parents d’élèves à s’approcher des encadreurs ou fréquentent leurs enfants afin de déceler les potentialités dont jouissent leurs progénitures et les orienter très tôt dans des écoles professionnelles.
Le pédagogue à la retraite a souhaité de l’état un appui nécessaire à la formation du certificat d’aptitude professionnelle (CAP) en sanitaire social qui englobe également l’hygiène, l’environnement et la salubrité. L’établissement scolaire créé en 1998 enregistre 14 promotions et d’anciens élèves recrutés à la fonction publique, aux structures privées, para médicales et autres.
Benogo TOURE
Correspondant
C’était le 21 juillet 2014 au sein de l’établissement scolaire situé au quartier ‘’cité des médecins’’ de la commune de korhogo au nord de la Côte d ‘Ivoire.
En effet le centre d’enseignement technique, d’animation rurale et d’insertion sociale (SIRATEC) qui se lit de la droite vers la gauche dont il est le fondateur a fait 100% d’admis en sanitaire social aux examens scolaires de fin d’année de 2013-2014 soit 106 candidats présentés et 106 admis. D’où l’approche de la jeunesse.
L’inspiration a-t-il précisé « m’est venue après de nombreuses années passés dans la grande famille de l’éducation nationale en tant qu ‘éducateur-conseiller d’orientation de créer un établissement de formation professionnelle pouvant absorber le rejet de nombreux élèves à partir de la classe de 3è à la classe de seconde afin qu’ils puissent trouver une place au soleil par la formation car l’enseignement général n’était pas la seule porte de sortie… » a dit Yéo.
Il a ensuite exhorté les parents d’élèves à s’approcher des encadreurs ou fréquentent leurs enfants afin de déceler les potentialités dont jouissent leurs progénitures et les orienter très tôt dans des écoles professionnelles.
Le pédagogue à la retraite a souhaité de l’état un appui nécessaire à la formation du certificat d’aptitude professionnelle (CAP) en sanitaire social qui englobe également l’hygiène, l’environnement et la salubrité. L’établissement scolaire créé en 1998 enregistre 14 promotions et d’anciens élèves recrutés à la fonction publique, aux structures privées, para médicales et autres.
Benogo TOURE
Correspondant