Salia Didier, 38 ans, assistant de production animale, a été condamné mardi à 10 ans de prison ferme par le tribunal de Gagnoa, pour une série d’attentats à la pudeur consommés sur des fillettes et jeunes filles mineures.
Bel homme fringuant, fonctionnaire de surcroit, Salia avait un véritable faible pour les fillettes et autres jeunes filles mineures, et une peur bleue des femmes.
Depuis son arrivée à Gagnoa, l’agent de la direction de l’Agriculture déménage fréquemment. Et pour cause, lorsqu’il s’installe dans un quartier et lie des amitiés, il commence à draguer les mineures qu’il entraîne ‘’dans sa tanière’’ en les appâtant avec des espèces sonnantes et trébuchantes. Une fois chez lui, il les saoule de films pornographiques et les entraine sur son lit pour assouvir sa libido.
Dès que les bruits commencent à se propager, il s’empresse de déménager. Et dès qu’il prend pieds dans son nouveau quartier, il reprend son stratagème, les fillettes de ce lieu le considérant comme un "tonton’’ gentil.
Manque de pot pour lui, les parents d’une jeune collégienne victime de ses ébats sexuels forcés décident de porter plainte, entraînant dans leur mouvement de colère les géniteurs des autres victimes de ce prédateur sexuel qui, elles, ne voulaient pas que cette affaire s’ébruite. Au nombre de celles-ci, des proches de l’accusé.
Lors de la première audience, la fillette dont les parents ont porté plainte explique les faits à la barre. La présidente du tribunal, jugeant les faits assez graves, décide de reporter le procès, afin que les autres victimes et témoins puissent comparaitre.
Entre temps, Salia est assigné à résidence.
Au cours de l’ultime audience, après la plaidoirie des avocats et le réquisitoire du procureur de la République, le juge et ses deux assesseurs ont infligé une peine de prison de 10 années à Salia qui perd de facto ses privilèges acquis de longue haleine, en tant que fonctionnaire. D’où ses sanglots et ceux des membres de sa famille dans la cour du tribunal de Gagnoa, à la fin du rôle de l’audience des flagrants délits de ce jour-là.
ja/kkp/ask
Bel homme fringuant, fonctionnaire de surcroit, Salia avait un véritable faible pour les fillettes et autres jeunes filles mineures, et une peur bleue des femmes.
Depuis son arrivée à Gagnoa, l’agent de la direction de l’Agriculture déménage fréquemment. Et pour cause, lorsqu’il s’installe dans un quartier et lie des amitiés, il commence à draguer les mineures qu’il entraîne ‘’dans sa tanière’’ en les appâtant avec des espèces sonnantes et trébuchantes. Une fois chez lui, il les saoule de films pornographiques et les entraine sur son lit pour assouvir sa libido.
Dès que les bruits commencent à se propager, il s’empresse de déménager. Et dès qu’il prend pieds dans son nouveau quartier, il reprend son stratagème, les fillettes de ce lieu le considérant comme un "tonton’’ gentil.
Manque de pot pour lui, les parents d’une jeune collégienne victime de ses ébats sexuels forcés décident de porter plainte, entraînant dans leur mouvement de colère les géniteurs des autres victimes de ce prédateur sexuel qui, elles, ne voulaient pas que cette affaire s’ébruite. Au nombre de celles-ci, des proches de l’accusé.
Lors de la première audience, la fillette dont les parents ont porté plainte explique les faits à la barre. La présidente du tribunal, jugeant les faits assez graves, décide de reporter le procès, afin que les autres victimes et témoins puissent comparaitre.
Entre temps, Salia est assigné à résidence.
Au cours de l’ultime audience, après la plaidoirie des avocats et le réquisitoire du procureur de la République, le juge et ses deux assesseurs ont infligé une peine de prison de 10 années à Salia qui perd de facto ses privilèges acquis de longue haleine, en tant que fonctionnaire. D’où ses sanglots et ceux des membres de sa famille dans la cour du tribunal de Gagnoa, à la fin du rôle de l’audience des flagrants délits de ce jour-là.
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