En prélude au Festival International de la Mode Islamique (FIMIS) prévue le 06 septembre 2014 à la Caistab, Mme Koné Kaba Madoussou, Présidente à du comité d’organisation nous donne un avant goût des surprises opportunes aux participants.
D’où est partie l’idée d’initier un festival dédié à la mode islamique ?
J’ai compris à un moment donné qu’en tant jeune femme musulmane, nous éprouvons très souvent des difficultés à nous affirmer en entreprise avec le voile. Nous avons aussi des difficultés à nous intégrer dans le tissu social avec notre culture vestimentaire. Voici quelques raisons qui nous ont motivé à initier ce projet.
A quand remonte la toute première édition du festival ?
La première édition s’est déroulée le 24 août 2013 à la Caistab au Plateau. L’édition 2014 du Festival International de la Mode Islamique est prévue pour le 06 septembre 2014 à la Caistab à partir de 20 heures. C’est une occasion offerte aux stylistes non confirmés à s’intégrer dans la mode islamique à travers des découvertes.
Quel est l’objectif visé à travers l’organisation de ce festival ?
Nous voulons promouvoir la mode islamique. En outre, nous voulons créer une plate-forme de rencontre et d’échange en matière de mode islamique. Il importe de réunir tous les stylistes autour de ce nouveau concept tout en créant un marché spécialisé dans ce domaine. Permettre aux professionnels de la mode de renforcer leurs marques et de développer leur activité au sein de la communauté musulmane. Valoriser les vêtements islamiques pour en faire un véritable créneau socioéconomique. Et susciter la vocation autour de la mode islamique.
Quel bilan faites-vous des années précédentes ?
Nous pensons que le bilan est acceptable. Car, le public a beaucoup apprécié tout ce qui a été présenté par les stylistes. La plupart ont déclaré avoir reçu des commandes de vêtements après le défilé de mode. Nous avons eu droit à un public de qualité à savoir l’association des épouses des Ministres en Côte d’Ivoire, des Ambassadeurs et toute la crème des grands stylistes ivoiriens.
Avez-vous connu des difficultés dans le passé ?
Oui ! On n’a pas eu de partenaires financiers l’an dernier pour nous soutenir. L’autre problème rencontré l’année dernière est que, le plan de la communication initialement prévu, n’a pas été achevé. Les partenaires n’ont pas réagi parce que c’était une première expérience. Il fallait faire les preuves. La plupart des partenaires ont pensé qu’il s’agissait d’une activité religieuse. Nous voudrions leur dire qu’ils n’ont pas compris. Car, il s’agit purement et simplement d’une activité culturelle qui s’inscrit dans la promotion de la mode islamique.
Qu’est-ce qui fera la particularité du festival prévu pour cette année ?
Nous allons inviter une grande styliste sénégalaise du nom de Kolésso Ardo. Elle a déjà fait ses preuves au plan international. Cette année, il aura une exposition. Nous vendons des stands. On aura de nouveaux stylistes et des grands stylistes. Plusieurs invités de marque sont attendus à ce festival de la mode islamique. Je tiens à préciser que tout le monde peut participer à ce festival. Car, chaque religion prône la déscence dans l’habillement surtout quand il s’agit de la femme. Nous voulons donner l’opportunité aux ivoiriens et ivoirienne de mieux se vêtir.
Quels sont vos des projets dans l’avenir ?
Biensûr, le FIMIS a toujours des projets. Cette année, le festival s’étend sur une soirée. Mais dans le projet, il s’étend sur plusieurs jours où on aura l’occasion de valoriser les jeunes stylistes qu’on va encadrer et qui auront des bourses pour s’installer afin d’investir dans la mode islamique. On compte créer des écoles pour former les femmes. Je souhaite qu’on accepte la femme musulmane voilée en entreprise. Il faut qu’on recrute la femme musulmane voilée en fonction de ses capacités, de ses compétences et non en fonction de son apparence.
Quels conseils avez-vous à l’endroit des jeunes qui néglige encore l’aspect vestimentaire ?
Nous exhortons les jeunes filles à s’habiller correctement. On n’a pas besoin de porter des tailles-basses pour avoir un mari. Au contraire, il faut bien se vêtir pour ne pas que l’homme vous confond à une prostituée. Je profite pour rappeler que le FIMIS, c’est dans deux mois. Nous promettons beaucoup de surprises. Cette année, c’est l’apothéose et nous promettons que de bonnes choses. Les stands sont déjà disponibles toute une journée pour 50.000 FCFA pour donner une chance aux stylistes de valoriser leurs talents. J’invite la communauté musulmane et non musulmane à venir réserver leur stand.
D’où est partie l’idée d’initier un festival dédié à la mode islamique ?
J’ai compris à un moment donné qu’en tant jeune femme musulmane, nous éprouvons très souvent des difficultés à nous affirmer en entreprise avec le voile. Nous avons aussi des difficultés à nous intégrer dans le tissu social avec notre culture vestimentaire. Voici quelques raisons qui nous ont motivé à initier ce projet.
A quand remonte la toute première édition du festival ?
La première édition s’est déroulée le 24 août 2013 à la Caistab au Plateau. L’édition 2014 du Festival International de la Mode Islamique est prévue pour le 06 septembre 2014 à la Caistab à partir de 20 heures. C’est une occasion offerte aux stylistes non confirmés à s’intégrer dans la mode islamique à travers des découvertes.
Quel est l’objectif visé à travers l’organisation de ce festival ?
Nous voulons promouvoir la mode islamique. En outre, nous voulons créer une plate-forme de rencontre et d’échange en matière de mode islamique. Il importe de réunir tous les stylistes autour de ce nouveau concept tout en créant un marché spécialisé dans ce domaine. Permettre aux professionnels de la mode de renforcer leurs marques et de développer leur activité au sein de la communauté musulmane. Valoriser les vêtements islamiques pour en faire un véritable créneau socioéconomique. Et susciter la vocation autour de la mode islamique.
Quel bilan faites-vous des années précédentes ?
Nous pensons que le bilan est acceptable. Car, le public a beaucoup apprécié tout ce qui a été présenté par les stylistes. La plupart ont déclaré avoir reçu des commandes de vêtements après le défilé de mode. Nous avons eu droit à un public de qualité à savoir l’association des épouses des Ministres en Côte d’Ivoire, des Ambassadeurs et toute la crème des grands stylistes ivoiriens.
Avez-vous connu des difficultés dans le passé ?
Oui ! On n’a pas eu de partenaires financiers l’an dernier pour nous soutenir. L’autre problème rencontré l’année dernière est que, le plan de la communication initialement prévu, n’a pas été achevé. Les partenaires n’ont pas réagi parce que c’était une première expérience. Il fallait faire les preuves. La plupart des partenaires ont pensé qu’il s’agissait d’une activité religieuse. Nous voudrions leur dire qu’ils n’ont pas compris. Car, il s’agit purement et simplement d’une activité culturelle qui s’inscrit dans la promotion de la mode islamique.
Qu’est-ce qui fera la particularité du festival prévu pour cette année ?
Nous allons inviter une grande styliste sénégalaise du nom de Kolésso Ardo. Elle a déjà fait ses preuves au plan international. Cette année, il aura une exposition. Nous vendons des stands. On aura de nouveaux stylistes et des grands stylistes. Plusieurs invités de marque sont attendus à ce festival de la mode islamique. Je tiens à préciser que tout le monde peut participer à ce festival. Car, chaque religion prône la déscence dans l’habillement surtout quand il s’agit de la femme. Nous voulons donner l’opportunité aux ivoiriens et ivoirienne de mieux se vêtir.
Quels sont vos des projets dans l’avenir ?
Biensûr, le FIMIS a toujours des projets. Cette année, le festival s’étend sur une soirée. Mais dans le projet, il s’étend sur plusieurs jours où on aura l’occasion de valoriser les jeunes stylistes qu’on va encadrer et qui auront des bourses pour s’installer afin d’investir dans la mode islamique. On compte créer des écoles pour former les femmes. Je souhaite qu’on accepte la femme musulmane voilée en entreprise. Il faut qu’on recrute la femme musulmane voilée en fonction de ses capacités, de ses compétences et non en fonction de son apparence.
Quels conseils avez-vous à l’endroit des jeunes qui néglige encore l’aspect vestimentaire ?
Nous exhortons les jeunes filles à s’habiller correctement. On n’a pas besoin de porter des tailles-basses pour avoir un mari. Au contraire, il faut bien se vêtir pour ne pas que l’homme vous confond à une prostituée. Je profite pour rappeler que le FIMIS, c’est dans deux mois. Nous promettons beaucoup de surprises. Cette année, c’est l’apothéose et nous promettons que de bonnes choses. Les stands sont déjà disponibles toute une journée pour 50.000 FCFA pour donner une chance aux stylistes de valoriser leurs talents. J’invite la communauté musulmane et non musulmane à venir réserver leur stand.