Abidjan - Le président de l’association des Ivoiriens d’origine burkinabé (AIOB), Adama Sankara a rendu, samedi, à Abidjan "hommage" aux présidents Alassane Ouattara et Blaise Compaoré et salué "la sagesse" avec laquelle le traitement de la question "sensible" du déguerpissement des occupants du mont Péko sera abordée.
" Nous rendons hommage aux présidents Alassane Ouattara et Blaise Compaoré qui avec sagesse œuvrent inlassablement au renforcement de l’intégration et surtout à envisager le traitement de la sensible question du déguerpissement des occupants du Mont Péko", a dit M. Sankara.
En effet le quatrième sommet du traité d’amitié et de coopération tenu fin juillet à Ouagadougou a indiqué que la "Conférence au Sommet a convenu de poursuivre la mutualisation des efforts pour assurer une bonne gestion de cette situation préoccupante de l’occupation du Mont Péko, en République de Côte d’Ivoire.
Aussi, a-t-il dit, le communiqué final a précisé qu’ "en vue d’accélérer la mise en œuvre effective du plan d’action d’évacuation des populations du parc national du Mont Péko, les Parties recommandent la mise en place dans les meilleurs délais, d’un Comité mixte de coordination et de suivi pour garantir une appropriation de l’opération d’évacuation par les parties prenantes et assurer une exécution conjointe dudit plan".
Certes à travers ce communiqué, a reconnu M. Sankara, les autorités ivoiriennes ont implicitement accordé "un petit report" tenant compte de la proposition du Conseil représentatif des populations du Mont Péko (CRPMP) qui réclamait un délai de trois ans pour l’exécution du déguerpissement initialement fixé au 31 juillet dernier.
Mais "dans le souci d’un départ paisible de ces 30 000 infiltrés clandestins, l’AIOB exhorte à la prise en compte de toutes les organisations burkinabé impliquées dans cette affaire notamment le CRPMP dont la maîtrise de la situation et l’expertise en raison de sa présence sur le terrain ne sont plus à démontrer", a affirmé Sankara.
L’ambassadeur du Burkina Faso en Côte d’Ivoire Justin Koutaba au sortir du quatrième TAC à Ouagadougou assurait que la "question serait traitée convenablement", en tenant compte de son aspect "humanitaire" et de "la solidarité" entre les deux pays.
" Nous rendons hommage aux présidents Alassane Ouattara et Blaise Compaoré qui avec sagesse œuvrent inlassablement au renforcement de l’intégration et surtout à envisager le traitement de la sensible question du déguerpissement des occupants du Mont Péko", a dit M. Sankara.
En effet le quatrième sommet du traité d’amitié et de coopération tenu fin juillet à Ouagadougou a indiqué que la "Conférence au Sommet a convenu de poursuivre la mutualisation des efforts pour assurer une bonne gestion de cette situation préoccupante de l’occupation du Mont Péko, en République de Côte d’Ivoire.
Aussi, a-t-il dit, le communiqué final a précisé qu’ "en vue d’accélérer la mise en œuvre effective du plan d’action d’évacuation des populations du parc national du Mont Péko, les Parties recommandent la mise en place dans les meilleurs délais, d’un Comité mixte de coordination et de suivi pour garantir une appropriation de l’opération d’évacuation par les parties prenantes et assurer une exécution conjointe dudit plan".
Certes à travers ce communiqué, a reconnu M. Sankara, les autorités ivoiriennes ont implicitement accordé "un petit report" tenant compte de la proposition du Conseil représentatif des populations du Mont Péko (CRPMP) qui réclamait un délai de trois ans pour l’exécution du déguerpissement initialement fixé au 31 juillet dernier.
Mais "dans le souci d’un départ paisible de ces 30 000 infiltrés clandestins, l’AIOB exhorte à la prise en compte de toutes les organisations burkinabé impliquées dans cette affaire notamment le CRPMP dont la maîtrise de la situation et l’expertise en raison de sa présence sur le terrain ne sont plus à démontrer", a affirmé Sankara.
L’ambassadeur du Burkina Faso en Côte d’Ivoire Justin Koutaba au sortir du quatrième TAC à Ouagadougou assurait que la "question serait traitée convenablement", en tenant compte de son aspect "humanitaire" et de "la solidarité" entre les deux pays.