Le député de Sandegué et Vice-président du bureau exécutif national du Rassemblement des jeunes républicains (RJR), Ouattara Aboubakar, a sillonné le samedi 2 et le dimanche 3 aout 2014, les regions du Lôh Djiboua (Divo), du Gôh (Gagnoa) et de l’Agneby Tiassa (Tiassalé) pour remobiliser les militants dans l’optique de l’échéance électorale présidentielle de 2015.
Dans toutes les localités visitées lors de ce périple de deux jours, l’Honorable Ouattara Aboubakar a souligné l’importance du rôle de la jeunesse dans la réélection du Président Alassane Ouattara. Selon lui, 2015 c’est maintenant ! « Nous sommes à la veille de la présidentielle de 2015 et il est important pour nous que non seulement le Président Ouattara soit réélu mais le défi majeur reste son élection au premier tour avec un score écrasant et sans appel », a-t-il dit aux délégations de jeunesse. Pour lui, Alassane Ouattara est un bonheur au regard des réalisations pharaoniques entreprises depuis son accession au pouvoir. Et son deuxième mandat sera, sans doute, dans la dynamique de parvenir à l’émergence qui, au delà, sera l’émergence de chacun. « Aidons-le à rehausser le pays. Croyons au Président Ouattara et ce que l’histoire retiendra c’est ces actes qu’il aura posés », a-t-il dit. A cet égard, a-t-il ajouté, la remobilisation de toutes les instances du parti doit demeurer une priorité. C’est pourquoi, après toutes les restructurations que le parti vient de connaitre en vue de lui donner du sang nouveau, il lui semblait capital de rencontrer les structures spécialisées du parti pour harmoniser les points de vue et, à l’occasion, échanger avec elles pour asseoir une stratégie commune de consolidation des acquis. Car, selon lui, il est très important de communiquer. « Nous avons le devoir de venir vers vous pour expliquer tous ces changements », à fait savoir Ouattara Aboubakar.
Ne pas oublier la base
A l’en croire, les jeunes occupent une place primordiale dans la stratégie du parti et à maintes reprises ils ont démontré leur maturité et leur conviction politique. Aussi, a-t-il exhorté les jeunes à demeurer unis car, a-t-il insisté, un Rjr fort c’est un Rdr fort. Prenant la parole à leur tour, tous les responsables de jeunesse ont dénoncé le comportement des cadres du parti à leur endroit, les questions liées au chômage et le sentiment d’être délaissés. « Après l’élection présidentielle, personne n’est venu nous dire merci. Et pourtant, on n’a pas besoin de millions pour nous remercier, venez simplement nous rendre visite et nous écouter », ont-ils dit. Au niveau de leur insertion sociale, la situation semble peu reluisante. « Les dix ans de crise ont fragilisé les militants du Rdr au niveau des concours par le critère de l’âge. Le Fonds national de la jeunesse est un leurre », ont-t-ils déploré. Sur toutes ces questions, Ouattara Aboubakar s’est voulu très rassurant. « Le Président Alassane Ouattara ne peut pas oublier la jeunesse. C’est parce qu’il a hérité d’un pays pourri. Faites-lui confiance ! », a-t-il martelé. Il faut noter que l’étape de Gagnoa a été marquée par un recueillement sur le carré des martyrs pour rendre un hommage à tous ces militants qui ont combattu au risque de leur vie et des rencontres dans les différents ‘’grins’’.
Traoré Bakary
Dans toutes les localités visitées lors de ce périple de deux jours, l’Honorable Ouattara Aboubakar a souligné l’importance du rôle de la jeunesse dans la réélection du Président Alassane Ouattara. Selon lui, 2015 c’est maintenant ! « Nous sommes à la veille de la présidentielle de 2015 et il est important pour nous que non seulement le Président Ouattara soit réélu mais le défi majeur reste son élection au premier tour avec un score écrasant et sans appel », a-t-il dit aux délégations de jeunesse. Pour lui, Alassane Ouattara est un bonheur au regard des réalisations pharaoniques entreprises depuis son accession au pouvoir. Et son deuxième mandat sera, sans doute, dans la dynamique de parvenir à l’émergence qui, au delà, sera l’émergence de chacun. « Aidons-le à rehausser le pays. Croyons au Président Ouattara et ce que l’histoire retiendra c’est ces actes qu’il aura posés », a-t-il dit. A cet égard, a-t-il ajouté, la remobilisation de toutes les instances du parti doit demeurer une priorité. C’est pourquoi, après toutes les restructurations que le parti vient de connaitre en vue de lui donner du sang nouveau, il lui semblait capital de rencontrer les structures spécialisées du parti pour harmoniser les points de vue et, à l’occasion, échanger avec elles pour asseoir une stratégie commune de consolidation des acquis. Car, selon lui, il est très important de communiquer. « Nous avons le devoir de venir vers vous pour expliquer tous ces changements », à fait savoir Ouattara Aboubakar.
Ne pas oublier la base
A l’en croire, les jeunes occupent une place primordiale dans la stratégie du parti et à maintes reprises ils ont démontré leur maturité et leur conviction politique. Aussi, a-t-il exhorté les jeunes à demeurer unis car, a-t-il insisté, un Rjr fort c’est un Rdr fort. Prenant la parole à leur tour, tous les responsables de jeunesse ont dénoncé le comportement des cadres du parti à leur endroit, les questions liées au chômage et le sentiment d’être délaissés. « Après l’élection présidentielle, personne n’est venu nous dire merci. Et pourtant, on n’a pas besoin de millions pour nous remercier, venez simplement nous rendre visite et nous écouter », ont-ils dit. Au niveau de leur insertion sociale, la situation semble peu reluisante. « Les dix ans de crise ont fragilisé les militants du Rdr au niveau des concours par le critère de l’âge. Le Fonds national de la jeunesse est un leurre », ont-t-ils déploré. Sur toutes ces questions, Ouattara Aboubakar s’est voulu très rassurant. « Le Président Alassane Ouattara ne peut pas oublier la jeunesse. C’est parce qu’il a hérité d’un pays pourri. Faites-lui confiance ! », a-t-il martelé. Il faut noter que l’étape de Gagnoa a été marquée par un recueillement sur le carré des martyrs pour rendre un hommage à tous ces militants qui ont combattu au risque de leur vie et des rencontres dans les différents ‘’grins’’.
Traoré Bakary