Une mission du Fonds monétaire international (FMI) va se rendre à Accra (Ghana) au début du mois de septembre, « pour initier des discussions sur un programme d'aide ».
Dans un communiqué publié vendredi, le FMI indique également avoir reçu une demande formelle de la part du Ghana pour un programme d'aide et de réformes économiques.
« La direction du FMI a reçu une demande formelle de la part des autorités ghanéennes pour ouvrir des discussions sur un programme économique soutenu par le Fonds », a déclaré Min Zhu, directeur général adjoint de l’institution. « Le FMI est prêt à aider le Ghana à faire face aux défis économiques qu'il rencontre », a-t-il ajouté.
Le ministre ghanéen des Finances, Seth Terkper (photo), avait annoncé le 4 août que son pays a demandé l'aide du FMI pour freiner la dépréciation de sa monnaie, le Cedi, et rétablir la confiance des investisseurs dans son économie en difficulté.
S’exprimant en marge du sommet Etats-Unis-Afrique, le président ghanéen, John Mahama avait également indiqué que son pays avait besoin d'assistance pour mener à bien des ajustements structurels afin de parvenir à équilibrer son budget en quelques années et enrayer la chute du Cedi.
Le Ghana fait face à une dépréciation du Cedi qui a plongé de 40% par rapport au Dollar cette année. Le PIB du Ghana a crû de quelque 7,5% par an au cours de la décennie passée grâce notamment à d'importantes exportations d'or, de cacao et de pétrole qu'elle a commencé à produire en 2010. Son expansion devrait marquer le pas à 4% en 2014 et 2015.
cmas
Dans un communiqué publié vendredi, le FMI indique également avoir reçu une demande formelle de la part du Ghana pour un programme d'aide et de réformes économiques.
« La direction du FMI a reçu une demande formelle de la part des autorités ghanéennes pour ouvrir des discussions sur un programme économique soutenu par le Fonds », a déclaré Min Zhu, directeur général adjoint de l’institution. « Le FMI est prêt à aider le Ghana à faire face aux défis économiques qu'il rencontre », a-t-il ajouté.
Le ministre ghanéen des Finances, Seth Terkper (photo), avait annoncé le 4 août que son pays a demandé l'aide du FMI pour freiner la dépréciation de sa monnaie, le Cedi, et rétablir la confiance des investisseurs dans son économie en difficulté.
S’exprimant en marge du sommet Etats-Unis-Afrique, le président ghanéen, John Mahama avait également indiqué que son pays avait besoin d'assistance pour mener à bien des ajustements structurels afin de parvenir à équilibrer son budget en quelques années et enrayer la chute du Cedi.
Le Ghana fait face à une dépréciation du Cedi qui a plongé de 40% par rapport au Dollar cette année. Le PIB du Ghana a crû de quelque 7,5% par an au cours de la décennie passée grâce notamment à d'importantes exportations d'or, de cacao et de pétrole qu'elle a commencé à produire en 2010. Son expansion devrait marquer le pas à 4% en 2014 et 2015.
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