Divo – Une fillette de six ans, Gbassé Yao Thérèse, est morte mardi dans le village de Zéhiri (Divo) après avoir été empoisonnée par son géniteur, Gbassé Yao Daniel, qui l’accusait de sorcellerie et surtout d’être à la base de ses difficultés quotidiennes.
Le père assassin a été appréhendé par les gendarmes de Divo devant qui il aurait reconnu son forfait.
Gbassé Yao Daniel aurait fait boire un produit utilisé par les planteurs pour tuer les rongeurs et autres animaux nuisibles à leurs cultures.
Selon des sources proches de l’enquête préliminaire, Gbassé Yao est un homme fini, qui a raté sa vie. Employé dans une mine d’or, il a été récemment remercié. Dans son village, l’homme n’a pu se construire de logis.
Alors, il vit au crochet d’un responsable religieux du village. Ce dernier, dit-on, combat les sorciers et délivre les âmes. A la veille du drame, il aurait affirmé avoir essuyé une attaque de la fillette.
Selon lui, Thérèse l’aurait défié mystiquement. Le combat entre lui et la môme dans le monde invisible aurait abouti à faire tomber le masque.
Cela sera la goutte d’eau qui fera déborder le vase. Le lendemain du culte, Gbassé Yao met à exécution sa ferme décision de faire passer sa fille de vie à trépas.
L’enfant de six ans dont il ne s’est jamais occupé en réalité vit chez sa tante. Daniel va donc, ce mardi matin, la chercher chez sa sœur. Il l’emmène chez lui et avec un sang froid hors du commun, il lui fait boire une grande quantité du mortel poison, puis la ramène discrètement là où il l’avait prise.
L’effet du poison ne se fait point attendre. Quelques minutes seulement après le départ du père, l’enfant se met à vomir et à se tordre de douleur. L’arrivée de sa tante ne lui sera d’aucun secours. Elle n’a pu qu’assister à l’agonie de sa nièce jusqu’à son dernier soupir, par la volonté de son géniteur, celui-là même qui est supposé être son protecteur.
(AIP)
Le père assassin a été appréhendé par les gendarmes de Divo devant qui il aurait reconnu son forfait.
Gbassé Yao Daniel aurait fait boire un produit utilisé par les planteurs pour tuer les rongeurs et autres animaux nuisibles à leurs cultures.
Selon des sources proches de l’enquête préliminaire, Gbassé Yao est un homme fini, qui a raté sa vie. Employé dans une mine d’or, il a été récemment remercié. Dans son village, l’homme n’a pu se construire de logis.
Alors, il vit au crochet d’un responsable religieux du village. Ce dernier, dit-on, combat les sorciers et délivre les âmes. A la veille du drame, il aurait affirmé avoir essuyé une attaque de la fillette.
Selon lui, Thérèse l’aurait défié mystiquement. Le combat entre lui et la môme dans le monde invisible aurait abouti à faire tomber le masque.
Cela sera la goutte d’eau qui fera déborder le vase. Le lendemain du culte, Gbassé Yao met à exécution sa ferme décision de faire passer sa fille de vie à trépas.
L’enfant de six ans dont il ne s’est jamais occupé en réalité vit chez sa tante. Daniel va donc, ce mardi matin, la chercher chez sa sœur. Il l’emmène chez lui et avec un sang froid hors du commun, il lui fait boire une grande quantité du mortel poison, puis la ramène discrètement là où il l’avait prise.
L’effet du poison ne se fait point attendre. Quelques minutes seulement après le départ du père, l’enfant se met à vomir et à se tordre de douleur. L’arrivée de sa tante ne lui sera d’aucun secours. Elle n’a pu qu’assister à l’agonie de sa nièce jusqu’à son dernier soupir, par la volonté de son géniteur, celui-là même qui est supposé être son protecteur.
(AIP)