Abidjan - Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a estimé, lundi à Daoukro, que la Côte d’Ivoire ne dispose pas à ce jour d’une "armée véritablement républicaine" pour assurer des élections paisibles en 2015.
" Il y a aussi la question de la sécurité de façon générale. Avec la reforme de l’armée qui n’est pas une réalité à l’heure actuelle et qui ne permet pas de s’assurer que la Côte d’Ivoire dispose aujourd’hui d’une armée véritablement républicaine sur laquelle on peut compter pour les élections de 2015", a déclaré Affi N’Guessan, à l'issue d'une rencontre avec le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié.
Selon le président du FPI qui conduisait une délégation de l’Alliance des forces démocratiques (AFD), cette visite à M. Bédié participe d’une "campagne de communication, de lobbying entreprise par l’Alliance depuis plusieurs mois, par rapport à la situation politique nationale, au dialogue politique national, mais de façon particulière, à la mise en place de la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI)".
Il a souhaité que la police et la gendarmerie retrouvent leur place régalienne dans la gestion de la sécurité nationale.
(AIP)
ik/kkp/tm
" Il y a aussi la question de la sécurité de façon générale. Avec la reforme de l’armée qui n’est pas une réalité à l’heure actuelle et qui ne permet pas de s’assurer que la Côte d’Ivoire dispose aujourd’hui d’une armée véritablement républicaine sur laquelle on peut compter pour les élections de 2015", a déclaré Affi N’Guessan, à l'issue d'une rencontre avec le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié.
Selon le président du FPI qui conduisait une délégation de l’Alliance des forces démocratiques (AFD), cette visite à M. Bédié participe d’une "campagne de communication, de lobbying entreprise par l’Alliance depuis plusieurs mois, par rapport à la situation politique nationale, au dialogue politique national, mais de façon particulière, à la mise en place de la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI)".
Il a souhaité que la police et la gendarmerie retrouvent leur place régalienne dans la gestion de la sécurité nationale.
(AIP)
ik/kkp/tm