Abidjan (Côte d’Ivoire) - La crise qui secouait le Front populaire ivoirien (FPI, ex-parti au pouvoir) depuis le 4 juillet est, ‘’désormais, derrière nous’’, a déclaré, mardi, dans un point de presse, le Groupe de médiation, recommandant un ‘’Congrès avant la fin de l’année 2014’’.
Selon le Gouverneur Philippe Henri Dacoury-Tabley, coordonnateur et porte-parole du Groupe de médiation, la non-tenue d’un congrès depuis 13 ans n’est sans doute pas ‘’étrangère’’ aux tensions actuelles et à la ‘’crise interne’’ au Front populaire ivoirien.
‘’Ainsi, durant toute cette période, le parti ne s’est pas donné les moyens d’absorber et de réguler toutes les tendances et les mouvements internes, qui au demeurant, sont une réelle expression de sa vitalité et de son dynamisme’’ a indiqué M. Dacoury-Tabley, expliquant la ‘’crise’’ qui a mis à ‘’mal la cohésion interne’’ du FPI.
La crise, selon la médiation, a révélé l’existence de ‘’divergences profondes’’ sur la ‘’ligne’’ et la ‘’stratégie’’ de l’ancien parti au pouvoir, de même que sur les ‘’questions de gouvernance’’.
‘’Fort heureusement, grâce aux efforts des uns et des autres, au sens du devoir et de sacrifice de tous, à l’engagement collectif des militants et sympathisants, une solution négociée a pu être trouvée et cette crise est désormais derrière nous’’, a soutenu Henri Dacoury-Tabley en présence du Président du FPI Pascal Affi N’guessan et de l’aile dissidente conduite par Laurent Akoun.
Cette solution négociée ou compromis se décline en six points. ‘’Le rétablissement de la Vice-présidente Simone Ehivet Gbagbo dans ses charges initiales, l’acceptation par M. Laurent Akoun de ses nouvelles attributions de Vice-président, la réhabilitation de tous les cadres du Secrétariat général rétrogradés, la réintégration de tous les cadres du Secrétariat général exclus et le maintien de tous les cadres (au nombre de 42) promus dans le nouveau Secrétariat général du 4 juillet 2014’’, a souligné M. Dacoury-Tabley.
La crise est née du réaménagement profond du secrétariat général opéré le 4 juillet 2014, par le Président du Fpi, Pascal Affi N’Guessan. Cette décision contestée par certains membres du Secrétariat Général, conduits par le secrétaire général ‘’démis’’, Laurent Akoun, a secoué le parti à la rose pendant un mois.
HS/ls/APA
Selon le Gouverneur Philippe Henri Dacoury-Tabley, coordonnateur et porte-parole du Groupe de médiation, la non-tenue d’un congrès depuis 13 ans n’est sans doute pas ‘’étrangère’’ aux tensions actuelles et à la ‘’crise interne’’ au Front populaire ivoirien.
‘’Ainsi, durant toute cette période, le parti ne s’est pas donné les moyens d’absorber et de réguler toutes les tendances et les mouvements internes, qui au demeurant, sont une réelle expression de sa vitalité et de son dynamisme’’ a indiqué M. Dacoury-Tabley, expliquant la ‘’crise’’ qui a mis à ‘’mal la cohésion interne’’ du FPI.
La crise, selon la médiation, a révélé l’existence de ‘’divergences profondes’’ sur la ‘’ligne’’ et la ‘’stratégie’’ de l’ancien parti au pouvoir, de même que sur les ‘’questions de gouvernance’’.
‘’Fort heureusement, grâce aux efforts des uns et des autres, au sens du devoir et de sacrifice de tous, à l’engagement collectif des militants et sympathisants, une solution négociée a pu être trouvée et cette crise est désormais derrière nous’’, a soutenu Henri Dacoury-Tabley en présence du Président du FPI Pascal Affi N’guessan et de l’aile dissidente conduite par Laurent Akoun.
Cette solution négociée ou compromis se décline en six points. ‘’Le rétablissement de la Vice-présidente Simone Ehivet Gbagbo dans ses charges initiales, l’acceptation par M. Laurent Akoun de ses nouvelles attributions de Vice-président, la réhabilitation de tous les cadres du Secrétariat général rétrogradés, la réintégration de tous les cadres du Secrétariat général exclus et le maintien de tous les cadres (au nombre de 42) promus dans le nouveau Secrétariat général du 4 juillet 2014’’, a souligné M. Dacoury-Tabley.
La crise est née du réaménagement profond du secrétariat général opéré le 4 juillet 2014, par le Président du Fpi, Pascal Affi N’Guessan. Cette décision contestée par certains membres du Secrétariat Général, conduits par le secrétaire général ‘’démis’’, Laurent Akoun, a secoué le parti à la rose pendant un mois.
HS/ls/APA