Le sous-préfet de Marandallah, dans le département de Mankono (Centre-nord, région du Béré) et ses administrés plaident pour la réalisation d’un château d’eau dans la localité, afin d’y résoudre les problèmes d’adduction d’eau potable auxquels les populations sont confrontées.
Evoquant le sujet, le sous-préfet, M. Guehi Fahé, a fait savoir que la question de l’eau est l’un des problèmes cruciaux de sa circonscription, indiquant que 20 pompes villageoises sont hors d’usage sur les 37 réalisées pour 33.000 habitants.
Dans son allocution lors de la fête de la lumière, samedi, le porte-parole des populations et des cadres, M. Bamba Mamadou, a plaidé pour la construction d’un château d’eau au chef-lieu de sous-préfecture, relevant que les quatre pompes fonctionnelles sur les cinq que compte le village ne suffisent pas à couvrir les besoins des 4.000 habitants.
Rencontrée à la pompe située à l’entrée du village, en venant de Bouandougou, Mlle Timité Fatou témoigne que l’eau des pompes ne suffit pas. "Souvent on vient à 5H ou 6H et on retourne à 14 heures sans avoir l’eau, parce que les gens sont nombreux", a-t-elle fait savoir.
Erigé en chef lieu de sous-préfecture en 1997, Marandallah a reçu son premier sous-préfet en 2007.
nbf/ask
Evoquant le sujet, le sous-préfet, M. Guehi Fahé, a fait savoir que la question de l’eau est l’un des problèmes cruciaux de sa circonscription, indiquant que 20 pompes villageoises sont hors d’usage sur les 37 réalisées pour 33.000 habitants.
Dans son allocution lors de la fête de la lumière, samedi, le porte-parole des populations et des cadres, M. Bamba Mamadou, a plaidé pour la construction d’un château d’eau au chef-lieu de sous-préfecture, relevant que les quatre pompes fonctionnelles sur les cinq que compte le village ne suffisent pas à couvrir les besoins des 4.000 habitants.
Rencontrée à la pompe située à l’entrée du village, en venant de Bouandougou, Mlle Timité Fatou témoigne que l’eau des pompes ne suffit pas. "Souvent on vient à 5H ou 6H et on retourne à 14 heures sans avoir l’eau, parce que les gens sont nombreux", a-t-elle fait savoir.
Erigé en chef lieu de sous-préfecture en 1997, Marandallah a reçu son premier sous-préfet en 2007.
nbf/ask
