Aboisso - Les usagers de l’axe Abidjan-Aboisso ont affirmé que la vétusté du pont de la rivière Somié, situé à quelques encablures de la sous-préfecture d’Adaou, constitue un frein à l’économie nationale, plaidant pour une solution urgente.
"C’est une route internationale qui mène au Nigeria et les camionneurs étrangers refusent de s’y engager. Ça bloque l’économie", a confié mardi, un transporteur, Moussa Diakité, à l’AIP, indiquant que ce pont est devenu aujourd’hui dangereux.
" Ce pont-là sur la rivière Somié est devenu aujourd’hui un tombeau à ciel ouvert. Regardez comment tout est gâté là-bas. En venant, on ne voit rien à cause des hautes herbes alors que le pont est situé en bas d’une côte. Nous demandons aux autorités de trouver une solution urgente. Remarquez, vous-mêmes, les nombreux accidents qui s’y passent tous les jours", a-t-il soutenu.
Dès la fin de la crise postélectorale, en avril 2011, le gouvernement ivoirien, par le biais du Programme présidentiel d’urgence (PPU) a mis en œuvre des programmes sectoriels de relance de l’activité sociale et économique dont un programme de lifting, de modernisation de plusieurs tronçons notamment Grand-Bassam-Noé d’un coût global de 25 milliards de francs CFA non encore exécuté.
(AIP)
cb/ik/kkp/kam
"C’est une route internationale qui mène au Nigeria et les camionneurs étrangers refusent de s’y engager. Ça bloque l’économie", a confié mardi, un transporteur, Moussa Diakité, à l’AIP, indiquant que ce pont est devenu aujourd’hui dangereux.
" Ce pont-là sur la rivière Somié est devenu aujourd’hui un tombeau à ciel ouvert. Regardez comment tout est gâté là-bas. En venant, on ne voit rien à cause des hautes herbes alors que le pont est situé en bas d’une côte. Nous demandons aux autorités de trouver une solution urgente. Remarquez, vous-mêmes, les nombreux accidents qui s’y passent tous les jours", a-t-il soutenu.
Dès la fin de la crise postélectorale, en avril 2011, le gouvernement ivoirien, par le biais du Programme présidentiel d’urgence (PPU) a mis en œuvre des programmes sectoriels de relance de l’activité sociale et économique dont un programme de lifting, de modernisation de plusieurs tronçons notamment Grand-Bassam-Noé d’un coût global de 25 milliards de francs CFA non encore exécuté.
(AIP)
cb/ik/kkp/kam