Ferkessédougou - Les parents du jeune agriculteur du nom de Ouattara Gnénéfol Seydou, porté disparu depuis quelques jours, soupçonnent les habitants d'un campement de l’avoir tué.
Ouattara Gnénéfol Seydou, né en 1988 à Doudouvogo, à 7 km de Tiègbè, et père d'un enfant, est parti de la maison depuis le 04 août, à la suite d’une crise de démence, ont révélé, jeudi, ses parents qui disent avoir mené de multiples recherches qui sont restées pour le moment infructueuses.
"Il a fait une crise de démence et s'est enfui de la maison. Nous l'avons cherché en vain, partout dans le village", a indiqué M. Ouattara Doulaye, le père du disparu, à l’AIP, au quartier Bromakoté.
Selon M. Ouattara, atteint de troubles psychiques, il y a longtemps, son fils n'avait pas fait de crise depuis plus d'un an qu'il est soigné traditionnellement.
"Il allait au champ. Il a même une femme et un enfant dont il s'occupe en bon père de famille", a ajouté M. Ouattara Doulaye qui a dit avoir été informé par un certain Lanzéni qu'un individu répondant à sa description vestimentaire avait été pris en chasse par des habitants d'un campement
près de Monmirasso qui, le prenant pour un malfaiteur, l’ont molesté malgré ses supplications et les révélations qu'il a faites sur son identité.
"Nous avons donc porté plainte à la gendarmerie, mais contre toute attente, ils ont tout nié en bloc. Pire, ils ne reconnaissent pas nous avoir dit quoique ce soit", s'est offusqué Ouattara Doulaye.
Joint au téléphone ce samedi matin par l'AIP, M. Ouattara Doulaye affirme que l'affaire suit son cours.
"Nous avons rendez-vous avec la gendarmerie, ce matin (samedi), mais il pleut trop fort en ce moment", a confié M. Ouattara à l’AIP.
Ti/kkp/kp
Ouattara Gnénéfol Seydou, né en 1988 à Doudouvogo, à 7 km de Tiègbè, et père d'un enfant, est parti de la maison depuis le 04 août, à la suite d’une crise de démence, ont révélé, jeudi, ses parents qui disent avoir mené de multiples recherches qui sont restées pour le moment infructueuses.
"Il a fait une crise de démence et s'est enfui de la maison. Nous l'avons cherché en vain, partout dans le village", a indiqué M. Ouattara Doulaye, le père du disparu, à l’AIP, au quartier Bromakoté.
Selon M. Ouattara, atteint de troubles psychiques, il y a longtemps, son fils n'avait pas fait de crise depuis plus d'un an qu'il est soigné traditionnellement.
"Il allait au champ. Il a même une femme et un enfant dont il s'occupe en bon père de famille", a ajouté M. Ouattara Doulaye qui a dit avoir été informé par un certain Lanzéni qu'un individu répondant à sa description vestimentaire avait été pris en chasse par des habitants d'un campement
près de Monmirasso qui, le prenant pour un malfaiteur, l’ont molesté malgré ses supplications et les révélations qu'il a faites sur son identité.
"Nous avons donc porté plainte à la gendarmerie, mais contre toute attente, ils ont tout nié en bloc. Pire, ils ne reconnaissent pas nous avoir dit quoique ce soit", s'est offusqué Ouattara Doulaye.
Joint au téléphone ce samedi matin par l'AIP, M. Ouattara Doulaye affirme que l'affaire suit son cours.
"Nous avons rendez-vous avec la gendarmerie, ce matin (samedi), mais il pleut trop fort en ce moment", a confié M. Ouattara à l’AIP.
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