Abengourou, Les membres du Comité national de pilotage du projet d’appui aux investissements agricoles dans la région de l’Indénié-Djuablin (PAIA-ID) se sont réunis jeudi à Abengourou pour faire le bilan de l’exécution de ce projet.
Il ressort de la présentation faite par le coordonnateur de ce projet que "le PAIA-ID évolue de manière tout à fait satisfaisante", au regard du taux d’exécution physique de 39% et du taux d’exécution financière de 31%, après 24 mois d’activité.
Ces taux pourraient s’améliorer très rapidement, car la quasi-totalité des marchés prévus sont en voie de passation et devraient être exécutés au terme de l’exercice 2015.
Toutefois, le projet éprouve quelques difficultés au niveau de certains volets de la composante Renforcement des capacités portant notamment sur "l’appui aux filières vivrières non organisées" et le suivi du "plan de gestion environnemental et social" (PGES).
Mais, ces problèmes sont en passe de trouver des solutions avec le financement, par le gouvernement, des semences de vivriers et le recrutement d’un consultant environnementaliste pour le suivi du PGES.
Le président du Comité de pilotage, Nouhoun Coulibaly, a donc adressé ses "vives félicitations" à l’équipe de coordination du projet pour l’excellent travail abattu.
"Je voudrais très sincèrement à féliciter l’équipe de coordination pour l’excellent travail réalisé. De tous les projets initiés par le ministère de l’agriculture, c’est vraiment celui qui marche bien", a-t-il indiqué.
Initié par le ministère de l’Agriculture, le PAIA-ID vise à contribuer à la réduction de la pauvreté en milieu rural par l’accroissement de la productivité des principales cultures pratiquées, la diversification de la production agricole, l’amélioration de la qualité et des circuits de commercialisation des produits agricoles.
De façon concrète, ce projet vise à aménager 923 ha de bas-fonds, réhabiliter 620 km de pistes de dessertes agricoles, réaliser deux centres de groupage, huit centres de collecte, 10 marchés ruraux, 20 hangars de séchage de cacao, 24 magasins de stockage de riz et deux abris pour décortiqueuses.
Il vise également la réalisation de plusieurs forages, 873 ha de riz emblavés, 50 ha de maraichers en contre-saison, 200 bacs de fermentation de cacao.
Soixante groupements de jeunes, 35 groupements féminins et huit petites unités de transformation doivent également être appuyés dans le cadre de ce projet, d’un coût global de plus de 18 milliards de FCFA, financés en grande partie par la BAD, à hauteur de plus de 16 milliards de FCFA.
(AIP)
Rkk/kp
Il ressort de la présentation faite par le coordonnateur de ce projet que "le PAIA-ID évolue de manière tout à fait satisfaisante", au regard du taux d’exécution physique de 39% et du taux d’exécution financière de 31%, après 24 mois d’activité.
Ces taux pourraient s’améliorer très rapidement, car la quasi-totalité des marchés prévus sont en voie de passation et devraient être exécutés au terme de l’exercice 2015.
Toutefois, le projet éprouve quelques difficultés au niveau de certains volets de la composante Renforcement des capacités portant notamment sur "l’appui aux filières vivrières non organisées" et le suivi du "plan de gestion environnemental et social" (PGES).
Mais, ces problèmes sont en passe de trouver des solutions avec le financement, par le gouvernement, des semences de vivriers et le recrutement d’un consultant environnementaliste pour le suivi du PGES.
Le président du Comité de pilotage, Nouhoun Coulibaly, a donc adressé ses "vives félicitations" à l’équipe de coordination du projet pour l’excellent travail abattu.
"Je voudrais très sincèrement à féliciter l’équipe de coordination pour l’excellent travail réalisé. De tous les projets initiés par le ministère de l’agriculture, c’est vraiment celui qui marche bien", a-t-il indiqué.
Initié par le ministère de l’Agriculture, le PAIA-ID vise à contribuer à la réduction de la pauvreté en milieu rural par l’accroissement de la productivité des principales cultures pratiquées, la diversification de la production agricole, l’amélioration de la qualité et des circuits de commercialisation des produits agricoles.
De façon concrète, ce projet vise à aménager 923 ha de bas-fonds, réhabiliter 620 km de pistes de dessertes agricoles, réaliser deux centres de groupage, huit centres de collecte, 10 marchés ruraux, 20 hangars de séchage de cacao, 24 magasins de stockage de riz et deux abris pour décortiqueuses.
Il vise également la réalisation de plusieurs forages, 873 ha de riz emblavés, 50 ha de maraichers en contre-saison, 200 bacs de fermentation de cacao.
Soixante groupements de jeunes, 35 groupements féminins et huit petites unités de transformation doivent également être appuyés dans le cadre de ce projet, d’un coût global de plus de 18 milliards de FCFA, financés en grande partie par la BAD, à hauteur de plus de 16 milliards de FCFA.
(AIP)
Rkk/kp