Agboville - La communauté missionnaire catholique 'Regina Pacis' d'Agboville a été officiellement reconnue, vendredi, comme un institut missionnaire par l'évêque du diocèse, Mgr Alexis Touably Youlo, après en avoir référé au Vatican.
Mgr Touably a rendu gloire à la souveraineté de Dieu d'avoir eu à inspirer le prêtre Raoul Mambo Kouadio de fonder la communauté 'Regina Pacis'.
La parole de Dieu, dira le prélat, rappelle qu'il ne faut pas éteindre la mèche qui brille, à l'image de toutes ces communautés qui sont comme des mèches que Dieu allume dans les églises pour lesquelles il n'est pas du rôle des responsables des églises de les éteindre.
"L'évêque doit les aider à briller davantage, bien au contraire", a dit Mgr Touably qui a insisté sur la nécessité pour le responsable religieux de corriger ce qu'il y a à rectifier ou couper ce qu'il a à extirper, afin que la communauté aille de mieux en mieux.
Il a expliqué avoir accordé la première étape qu'est ''l'Ad expérimentum" qui a consisté à observer le comportement et le fonctionnement de la communauté durant quelques années, avec l'aide du presbyterium ainsi que du peuple de Dieu.
"Deux choses m'ont décidé à donner mon approbation pour une reconnaissance diocésaine provisoire de l'institut Regina Pacis", a déclaré solennellement l'Evêque à l’occasion de la fête de l'Assomption.
"Nous les avons observés et les fruits sont bons à tous les niveaux", a assuré le premier responsable de l'église catholique à Agboville.
Selon lui, la communauté s'est bien comportée aussi bien au niveau pastoral où la paroisse qui leur a été confiée a été bien dirigée, qu’au niveau social où les membres de 'Regina Pacis' sont présents dans les domaines de la santé et de l'enseignement et au niveau rural où ils ont su encadrer les femmes dans les villages.
"Qui suis-je donc moi pour dire que l'arbre est mauvais alors que Dieu lui-même permet à l'arbre de porter beaucoup de fruits’’, a fait observer l'évêque qui a rappelé que ces deux éléments déclencheurs l'ont poussé à passer à la deuxième étape qui est la reconnaissance provisoire.
La communauté 'Regina Pacis' devient ainsi un institut de droit diocésain agissant d'abord dans le diocèse et peut-être plus tard dans un autre diocèse à la demande d'un autre évêque, le cas échéant, sauf en ce qui concerne l'évangélisation.
Au bout d'une dizaine d'années, la communauté qui a acquis le statut d'institut, pourra être élevé au rang de congrégation avec un statut de droit pontifical, placé directement sous la coupole du pape.
"C'est Rome qui décidera exclusivement", a conclu Mgr Touabli.
Le diocèse d'Agboville compte six congrégations, un institut et 13 communautés.
Dd/kkp/kp
Mgr Touably a rendu gloire à la souveraineté de Dieu d'avoir eu à inspirer le prêtre Raoul Mambo Kouadio de fonder la communauté 'Regina Pacis'.
La parole de Dieu, dira le prélat, rappelle qu'il ne faut pas éteindre la mèche qui brille, à l'image de toutes ces communautés qui sont comme des mèches que Dieu allume dans les églises pour lesquelles il n'est pas du rôle des responsables des églises de les éteindre.
"L'évêque doit les aider à briller davantage, bien au contraire", a dit Mgr Touably qui a insisté sur la nécessité pour le responsable religieux de corriger ce qu'il y a à rectifier ou couper ce qu'il a à extirper, afin que la communauté aille de mieux en mieux.
Il a expliqué avoir accordé la première étape qu'est ''l'Ad expérimentum" qui a consisté à observer le comportement et le fonctionnement de la communauté durant quelques années, avec l'aide du presbyterium ainsi que du peuple de Dieu.
"Deux choses m'ont décidé à donner mon approbation pour une reconnaissance diocésaine provisoire de l'institut Regina Pacis", a déclaré solennellement l'Evêque à l’occasion de la fête de l'Assomption.
"Nous les avons observés et les fruits sont bons à tous les niveaux", a assuré le premier responsable de l'église catholique à Agboville.
Selon lui, la communauté s'est bien comportée aussi bien au niveau pastoral où la paroisse qui leur a été confiée a été bien dirigée, qu’au niveau social où les membres de 'Regina Pacis' sont présents dans les domaines de la santé et de l'enseignement et au niveau rural où ils ont su encadrer les femmes dans les villages.
"Qui suis-je donc moi pour dire que l'arbre est mauvais alors que Dieu lui-même permet à l'arbre de porter beaucoup de fruits’’, a fait observer l'évêque qui a rappelé que ces deux éléments déclencheurs l'ont poussé à passer à la deuxième étape qui est la reconnaissance provisoire.
La communauté 'Regina Pacis' devient ainsi un institut de droit diocésain agissant d'abord dans le diocèse et peut-être plus tard dans un autre diocèse à la demande d'un autre évêque, le cas échéant, sauf en ce qui concerne l'évangélisation.
Au bout d'une dizaine d'années, la communauté qui a acquis le statut d'institut, pourra être élevé au rang de congrégation avec un statut de droit pontifical, placé directement sous la coupole du pape.
"C'est Rome qui décidera exclusivement", a conclu Mgr Touabli.
Le diocèse d'Agboville compte six congrégations, un institut et 13 communautés.
Dd/kkp/kp