Bouaké, Dans le cadre du renforcement de leurs capacités techniques en santé animale et pour la surveillance épidémiologique, des agents des services vétérinaires se sont formés, à Bouaké, aux techniques de la prise de sang, de frottis sanguins, des gouttes épaisses et de l’autopsie, nécessaires dans la reconnaissance des maladies animales.
Selon le formateur de cet atelier tenu jeudi, Dr Boka Marcel, chef du département santé animale du Projet d’amélioration de la santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire, "ces exercices pratiques devront permettre aux participants, en cas de suspicion d’une maladie, de pouvoir réaliser les prélèvements qu’il faut dans les règles de l’art, les conditionner comme il faut, conserver les échantillons à la température idéale et les acheminer au laboratoire compétent pour la recherche de la maladie".
Dr Boka a fait savoir, par ailleurs, que chaque directeur départemental est censé rapporter mensuellement toutes les maladies qui sévissent dans sa localité à la cellule de surveillance épidémiologique basée à Abidjan.
Ces données permettront d’avoir une vue générale sur la situation sanitaire du pays en matière de maladies animale et aideront à anticiper sur certaines dispositions médicales.
‘’Dans le cadre de la surveillance épidémiologique, on n’est pas obligé d’attendre la présence de la maladie’’, a signifié, pour sa part, le coordonnateur national du Projet d’amélioration de la santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire, le docteur Dagnogo qui a exhorté les participants à mettre en pratique les connaissances acquises pour une maîtrise des pathologies, en vue d’une amélioration du capital animal.
Selon ses dires, cette formation des agents sur le terrain devra permettre de réactiver la cellule de surveillance épidémiologique qui avait été mise sur pied dans le cadre du Programme panafricain de contrôle des épizooties qui avait aidé la Côte d’Ivoire et les différents pays à éliminer la peste bovine.
Les participants dont M. Don Bi, agent vétérinaire de la direction départementale de Katiola, ont confié à l'AIP leur satisfaction d’avoir pris part à cette formation. «Au niveau des autopsies, on avait une certaine pratique sur le terrain, mais aujourd’hui, on a appris qu’il y a un cheminement. Cela va nous servir sur le terrain», a-t-il laissé entendre.
(AIP)
nbf/kkp/tm
Selon le formateur de cet atelier tenu jeudi, Dr Boka Marcel, chef du département santé animale du Projet d’amélioration de la santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire, "ces exercices pratiques devront permettre aux participants, en cas de suspicion d’une maladie, de pouvoir réaliser les prélèvements qu’il faut dans les règles de l’art, les conditionner comme il faut, conserver les échantillons à la température idéale et les acheminer au laboratoire compétent pour la recherche de la maladie".
Dr Boka a fait savoir, par ailleurs, que chaque directeur départemental est censé rapporter mensuellement toutes les maladies qui sévissent dans sa localité à la cellule de surveillance épidémiologique basée à Abidjan.
Ces données permettront d’avoir une vue générale sur la situation sanitaire du pays en matière de maladies animale et aideront à anticiper sur certaines dispositions médicales.
‘’Dans le cadre de la surveillance épidémiologique, on n’est pas obligé d’attendre la présence de la maladie’’, a signifié, pour sa part, le coordonnateur national du Projet d’amélioration de la santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire, le docteur Dagnogo qui a exhorté les participants à mettre en pratique les connaissances acquises pour une maîtrise des pathologies, en vue d’une amélioration du capital animal.
Selon ses dires, cette formation des agents sur le terrain devra permettre de réactiver la cellule de surveillance épidémiologique qui avait été mise sur pied dans le cadre du Programme panafricain de contrôle des épizooties qui avait aidé la Côte d’Ivoire et les différents pays à éliminer la peste bovine.
Les participants dont M. Don Bi, agent vétérinaire de la direction départementale de Katiola, ont confié à l'AIP leur satisfaction d’avoir pris part à cette formation. «Au niveau des autopsies, on avait une certaine pratique sur le terrain, mais aujourd’hui, on a appris qu’il y a un cheminement. Cela va nous servir sur le terrain», a-t-il laissé entendre.
(AIP)
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