Une mission de l'Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR) a engagé jeudi les ex-combattants d’Agboville à intégrer le processus de réinsertion mis en place par le gouvernement.
"Nous sommes là pour une mission de sensibilisation et de confirmation de projet pour les ex-combattants", a expliqué le capitaine Beugré Claude, chargé de communication à l'ADDR à Agboville.
Il a tenu à rassurer tous les ex-combattants de l'Agnéby en les exhortant à intégrer le processus, "dès lors que le gouvernement veut les aider, il n'y a rien à craindre", a-t-il lancé.
Le capitaine Beugré a indiqué que cette équipe a effectué le déplacement d'Agboville pour essayer de recenser les ex-combattants encore hésitants et leur dire ce que l'ADDR propose pour leur réinsertion dans le tissu socio-économique du pays.
Il s'agit de la seconde mission de l'ADDR dans la région de l’Agnéby-Tiassa, a-t-il rappelé.
"La première fois, ça s'est bien passé et ils ont répondu favorablement", a affirmé le capitaine Beugré qui a révélé que, pour la première étape, 800 éléments ont été intégrés dans le processus ADDR dans les départements d'Agboville, Adzopé et Akoupé.
Concernant la région, les ex-combattants intégrés sont à la resocialisation où il leur est appris le respect des droits civiques et le civisme, tout en leur ôtant tout esprit guerrier, avant de les orienter dans les différents projets, préalablement choisis par eux-mêmes, a précisé le chef de la délégation ADDR.
"Nous venons relancer ceux qui sont encore réticents", a dit le capitaine Beugré qui a rappelé la nécessité d'intégrer les 74.000 ex-combattants issus des ex-Forces nouvelles et des groupes d'auto-défense qui se sont opposés durant la période de crise entre 2002 et 2011.
Selon capitaine Beugré, les groupes d'auto-défenses qui étaient hésitants pendant longtemps, ont aujourd'hui accepté d'intégrer le processus ADDR, sur la base du financement d'un projet individuel, à hauteur de 800.000 FCFA chacun.
Plus de 30.000 ex-combattants ont déjà été réintégrés par l'ADDR sur les 74 000 identifiés au plan national.
Dd/kp
"Nous sommes là pour une mission de sensibilisation et de confirmation de projet pour les ex-combattants", a expliqué le capitaine Beugré Claude, chargé de communication à l'ADDR à Agboville.
Il a tenu à rassurer tous les ex-combattants de l'Agnéby en les exhortant à intégrer le processus, "dès lors que le gouvernement veut les aider, il n'y a rien à craindre", a-t-il lancé.
Le capitaine Beugré a indiqué que cette équipe a effectué le déplacement d'Agboville pour essayer de recenser les ex-combattants encore hésitants et leur dire ce que l'ADDR propose pour leur réinsertion dans le tissu socio-économique du pays.
Il s'agit de la seconde mission de l'ADDR dans la région de l’Agnéby-Tiassa, a-t-il rappelé.
"La première fois, ça s'est bien passé et ils ont répondu favorablement", a affirmé le capitaine Beugré qui a révélé que, pour la première étape, 800 éléments ont été intégrés dans le processus ADDR dans les départements d'Agboville, Adzopé et Akoupé.
Concernant la région, les ex-combattants intégrés sont à la resocialisation où il leur est appris le respect des droits civiques et le civisme, tout en leur ôtant tout esprit guerrier, avant de les orienter dans les différents projets, préalablement choisis par eux-mêmes, a précisé le chef de la délégation ADDR.
"Nous venons relancer ceux qui sont encore réticents", a dit le capitaine Beugré qui a rappelé la nécessité d'intégrer les 74.000 ex-combattants issus des ex-Forces nouvelles et des groupes d'auto-défense qui se sont opposés durant la période de crise entre 2002 et 2011.
Selon capitaine Beugré, les groupes d'auto-défenses qui étaient hésitants pendant longtemps, ont aujourd'hui accepté d'intégrer le processus ADDR, sur la base du financement d'un projet individuel, à hauteur de 800.000 FCFA chacun.
Plus de 30.000 ex-combattants ont déjà été réintégrés par l'ADDR sur les 74 000 identifiés au plan national.
Dd/kp