Ça tourne ! « Sans regret », c’est le titre du nouveau film coproduit par Prisca Marceleney, qui met en action des talentueux acteurs comme Naky Sy Savané, Michel Bohiri, Thérèse Taba, Kané Mahoula. Depuis quelques jours, ces comédiens sont en tournage dans ce long-métrage dont la sortie est prévue pour la fin de l’année 2014. Au dire de la coproductrice de cette production, il s’agit, à travers la titraille dépeignant le drame, d’insuffler un nouveau souffle au cinéma ivoirien. « C’est une histoire très intéressante. Lorsqu’on commence à regarder le film, on ne le lâche plus. La trame est assez pertinente au niveau du scenario », explique-t-elle.
Prisca n’a pas caché sa joie de voir camper Naky Sy, promotrice du Festival international du film des lacs et lagunes (Festilag), dans cette réalisation qui porte la touche de Tra Bi Jacques. Elle a aussi relevé que le film revêt un caractère spécial pour Naky qui fonde beaucoup d’espoir sur l’émergence du 7è art ivoirien. « C’est une grande dame du cinéma ivoirien et africain. Je dirai que c’est une icône pour tous les acteurs. Elle a tout de suite accepté de nous accompagner sur le projet. Je ne connaissais la comédienne qu’à la télévision. J’ai beaucoup d’admiration pour elle. Elle m’a encore épatée pour ce film », a-t-elle confié.
Traduisant son ambition de hisser le cinéma ivoirien à un niveau optimal, Naky Sy Savané fait une précision de taille. « Ma participation à ce film s’inscrit dans la continuité de mon combat pour la renaissance du cinéma en Côte d’Ivoire. Le Festilag nous a déjà permis d’engager la bataille pour l’ouverture des salles de cinéma et de pousser les jeunes réalisateurs à produire des films. Maintenant, il nous revient de jouer dans les films afin d’amener les cinéphiles à soutenir l’industrie cinématographique », a-t-elle indiqué, avant le redémarrage du Festilag. Pour elle, cette œuvre cinématographique évoque des thèmes importants. Qui restituent l’histoire d’un père de famille.
Martyr d’un braquage, ce dernier entreprend de se mettre aux trousses de ses agresseurs. Les dernières séquences de ce film « riche en actions », se déroulent actuellement avec une détermination des acteurs. Trois villes abritent le premier cou de manivelle de ce film. A savoir Ferkessédougou, Abidjan et Adiaké.
A. Dinguy’s N
Prisca n’a pas caché sa joie de voir camper Naky Sy, promotrice du Festival international du film des lacs et lagunes (Festilag), dans cette réalisation qui porte la touche de Tra Bi Jacques. Elle a aussi relevé que le film revêt un caractère spécial pour Naky qui fonde beaucoup d’espoir sur l’émergence du 7è art ivoirien. « C’est une grande dame du cinéma ivoirien et africain. Je dirai que c’est une icône pour tous les acteurs. Elle a tout de suite accepté de nous accompagner sur le projet. Je ne connaissais la comédienne qu’à la télévision. J’ai beaucoup d’admiration pour elle. Elle m’a encore épatée pour ce film », a-t-elle confié.
Traduisant son ambition de hisser le cinéma ivoirien à un niveau optimal, Naky Sy Savané fait une précision de taille. « Ma participation à ce film s’inscrit dans la continuité de mon combat pour la renaissance du cinéma en Côte d’Ivoire. Le Festilag nous a déjà permis d’engager la bataille pour l’ouverture des salles de cinéma et de pousser les jeunes réalisateurs à produire des films. Maintenant, il nous revient de jouer dans les films afin d’amener les cinéphiles à soutenir l’industrie cinématographique », a-t-elle indiqué, avant le redémarrage du Festilag. Pour elle, cette œuvre cinématographique évoque des thèmes importants. Qui restituent l’histoire d’un père de famille.
Martyr d’un braquage, ce dernier entreprend de se mettre aux trousses de ses agresseurs. Les dernières séquences de ce film « riche en actions », se déroulent actuellement avec une détermination des acteurs. Trois villes abritent le premier cou de manivelle de ce film. A savoir Ferkessédougou, Abidjan et Adiaké.
A. Dinguy’s N