Abidjan – L’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR), a organisé, jeudi, une formation d’acteurs de la société civile de la commune d’Abobo (au Nord d’Abidjan) sur "la prévention et la gestion des conflits communautaires", à la gare routière internationale de cette commune.
Cette formation s’inscrit dans le cadre du Programme de relèvement et de réintégration communautaire (PRRC) conduit par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Les acteurs ont revisité avec le formateur, Traoré Alioune, les mécanismes de prévention, de gestion et de résolution des conflits, les techniques de communication, de médiation, de négociation et de réconciliation en période de crise.
Au cours de l’atelier, ils se sont livrés à des exercices pratiques de compréhension et d’analyse de conflit, élaboré et décrit "la grille" et "l’arbre" d’un conflit, en présence de responsables du PNUD, Mohamed El Mehdi Ag Rhissa, et Ali Fofana, de l’ADDR, Kéhi Edouard Djouha, représentant le directeur et Mme Adja Petionilla, du département cohésion sociale et réhabilitation communautaire.
Le formateur a particulièrement insisté sur la nécessité, pour le leader d’avoir non seulement bonne presse, mais aussi de refléter dans la communauté l’image d’un homme ou d’une femme de concorde à travers son comportement.
Le département de la Réhabilitation communautaire et de Cohésion sociale (RCCS) de l’ADDR a principalement pour mission de préparer les communautés à accueillir pacifiquement les ex-combattants.
Des activités d’identification et d’évaluation des mécanismes de dialogue et de gestion des conflits ont été réalisées à ce titre auprès d’organisations locales qui doivent bénéficier d’un transfert de savoir en la matière aussi bien à Abobo qu’à Yopougon, à l’Ouest d’Abidjan.
Au 30 juin, 21.527 (79%) sur un objectif de 30.000 ex-combattants étaient effectivement réintégrés et 5.714 (21%) étaient en instance de réinsertion, selon les chiffres officiels de l’ADDR.
aaa/ask
Cette formation s’inscrit dans le cadre du Programme de relèvement et de réintégration communautaire (PRRC) conduit par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Les acteurs ont revisité avec le formateur, Traoré Alioune, les mécanismes de prévention, de gestion et de résolution des conflits, les techniques de communication, de médiation, de négociation et de réconciliation en période de crise.
Au cours de l’atelier, ils se sont livrés à des exercices pratiques de compréhension et d’analyse de conflit, élaboré et décrit "la grille" et "l’arbre" d’un conflit, en présence de responsables du PNUD, Mohamed El Mehdi Ag Rhissa, et Ali Fofana, de l’ADDR, Kéhi Edouard Djouha, représentant le directeur et Mme Adja Petionilla, du département cohésion sociale et réhabilitation communautaire.
Le formateur a particulièrement insisté sur la nécessité, pour le leader d’avoir non seulement bonne presse, mais aussi de refléter dans la communauté l’image d’un homme ou d’une femme de concorde à travers son comportement.
Le département de la Réhabilitation communautaire et de Cohésion sociale (RCCS) de l’ADDR a principalement pour mission de préparer les communautés à accueillir pacifiquement les ex-combattants.
Des activités d’identification et d’évaluation des mécanismes de dialogue et de gestion des conflits ont été réalisées à ce titre auprès d’organisations locales qui doivent bénéficier d’un transfert de savoir en la matière aussi bien à Abobo qu’à Yopougon, à l’Ouest d’Abidjan.
Au 30 juin, 21.527 (79%) sur un objectif de 30.000 ex-combattants étaient effectivement réintégrés et 5.714 (21%) étaient en instance de réinsertion, selon les chiffres officiels de l’ADDR.
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