Bouaké - Les agents de police de l’université Alassane Ouattara de Bouaké (Centre) menacent d’entrer en grève, à partir de mardi prochain, indiquent-ils dans un préavis de grève dont copie a été remise mercredi à l’AIP.
Ils demandent la "détermination’’ de leur statut, la fixation de leurs salaires selon la grille salariale correspondant au baccalauréat, le paiement de leurs salaires par virement bancaire, le paiement "sans délai" de trois mois d’arriérés de salaire, une formation et des équipements ainsi que le redéploiement de leurs collègues de l’université Félix Houphouët-Boigny, contraints de quitter le campus.
Les agents qui se disent ouverts au dialogue, veulent des "solutions définitives pour éviter tous désagréments’’.
Les premiers éléments de la police universitaire ont été déployés sur les campus universitaires depuis l’année dernière. Ils sont investis d’une mission de maintien de l’ordre, de la prévention des conflits et de la gestion des risques, de la sécurisation des personnes et des biens au sein des espaces universitaires, dans le respect scrupuleux et mutuel de la dignité de tous. Cette force est également chargée de la préservation de la salubrité des espaces verts et de l’environnement.
Le gouvernement ivoirien avait concédé, avec effet immédiat, la prestation de ce service de sécurité dans les universités publiques à la Société d’infrastructure moderne pour le développement de la Côte d’Ivoire (SIMDCI), en mars 2013. Les éléments avaient été officiellement présentés, le 17 janvier, à Bouaké, aux acteurs du système universitaire, notamment les dirigeants des universités ivoiriennes et les étudiants.
nbf/kkp/ask
Ils demandent la "détermination’’ de leur statut, la fixation de leurs salaires selon la grille salariale correspondant au baccalauréat, le paiement de leurs salaires par virement bancaire, le paiement "sans délai" de trois mois d’arriérés de salaire, une formation et des équipements ainsi que le redéploiement de leurs collègues de l’université Félix Houphouët-Boigny, contraints de quitter le campus.
Les agents qui se disent ouverts au dialogue, veulent des "solutions définitives pour éviter tous désagréments’’.
Les premiers éléments de la police universitaire ont été déployés sur les campus universitaires depuis l’année dernière. Ils sont investis d’une mission de maintien de l’ordre, de la prévention des conflits et de la gestion des risques, de la sécurisation des personnes et des biens au sein des espaces universitaires, dans le respect scrupuleux et mutuel de la dignité de tous. Cette force est également chargée de la préservation de la salubrité des espaces verts et de l’environnement.
Le gouvernement ivoirien avait concédé, avec effet immédiat, la prestation de ce service de sécurité dans les universités publiques à la Société d’infrastructure moderne pour le développement de la Côte d’Ivoire (SIMDCI), en mars 2013. Les éléments avaient été officiellement présentés, le 17 janvier, à Bouaké, aux acteurs du système universitaire, notamment les dirigeants des universités ivoiriennes et les étudiants.
nbf/kkp/ask