Abidjan, Les crises ont beau se multiplier dans le monde, de l’Europe au Moyen-Orient, Barack Obama garde son calme et attribue l’inquiétude de ses compatriotes aux médias et aux réseaux sociaux.
S’adressant à ses partisans lors d’une levée de fonds, Barack Obama a voulu leur transmettre un message d’espoir en leur déclarant que ce qui se passe en ce moment, en Ukraine, en Irak ou en Syrie, ou encore en Asie n’est pas si terrible que cela : « Nous avons connu des défis bien plus sérieux pendant la guerre froide » affirme-t-il.
« Si vous regardez les nouvelles le soir, vous avez l’impression que le monde s’effondre. Mais le monde a toujours été en désordre, a-t-il ajouté, et nous en sommes plus conscients aujourd’hui en partie à cause des réseaux sociaux ». Obama, après sa catastrophique déclaration sur une absence de stratégie pour combattre l’Etat islamique en Syrie, veut donner l’image d’un timonier qui ne s’affole pas au milieu de la tempête.
Pour le moment, en attendant d’avoir un projet clair pour la Syrie. il préfère limiter les raids aériens à l’Irak et le Pentagone a annoncé de nouvelles frappes près du barrage de Mossoul samedi. Soulignant que l’armée américaine était la plus puissante du monde, il a conclu, « nous surmonterons les présentes difficultés, comme nous l’avons fait dans le passé », devant des donateurs qui avaient payé 35 500 dollars pour l’écouter et pour qui il n’a, sans doute, pas voulu être le messager de mauvaises nouvelles.
(AIP)
ask
S’adressant à ses partisans lors d’une levée de fonds, Barack Obama a voulu leur transmettre un message d’espoir en leur déclarant que ce qui se passe en ce moment, en Ukraine, en Irak ou en Syrie, ou encore en Asie n’est pas si terrible que cela : « Nous avons connu des défis bien plus sérieux pendant la guerre froide » affirme-t-il.
« Si vous regardez les nouvelles le soir, vous avez l’impression que le monde s’effondre. Mais le monde a toujours été en désordre, a-t-il ajouté, et nous en sommes plus conscients aujourd’hui en partie à cause des réseaux sociaux ». Obama, après sa catastrophique déclaration sur une absence de stratégie pour combattre l’Etat islamique en Syrie, veut donner l’image d’un timonier qui ne s’affole pas au milieu de la tempête.
Pour le moment, en attendant d’avoir un projet clair pour la Syrie. il préfère limiter les raids aériens à l’Irak et le Pentagone a annoncé de nouvelles frappes près du barrage de Mossoul samedi. Soulignant que l’armée américaine était la plus puissante du monde, il a conclu, « nous surmonterons les présentes difficultés, comme nous l’avons fait dans le passé », devant des donateurs qui avaient payé 35 500 dollars pour l’écouter et pour qui il n’a, sans doute, pas voulu être le messager de mauvaises nouvelles.
(AIP)
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