Les acteurs forestiers nationaux bénéficient, depuis ce lundi, à Abidjan, d’un séminaire de renforcement de cinq jours, organisé par l’Organisation internationale des bois tropicaux (OIBT), en vue de la maîtrise et de l’acquisition des techniques de base, pour une bonne rédaction de leurs projets.
Il s’agira, pour les organisateurs de cet atelier qui prendra fin vendredi, d’élargir les connaissances générales des participants au sujet des projets de l’OIBT, de les familiariser avec le logiciel ITTO PROTOOL et le système OIBT de suivi en ligne et d’utiliser les outils de la formation pour entamer la formulation de cinq propositions de projets à soumettre à l’organisation internationale, pour inclusion dans ses prochains cycles de projets.
Ce renforcement de capacités, en partenariat avec le ministère ivoirien des Eaux et Forêts, s’inscrit dans l’objectif d’une Côte d’Ivoire émergente dans un contexte de développement durable, avec la nécessité d’« une réelle connaissance des mécanismes de fonctionnement et des spécificités liées à chaque partenaire au développement à l’effet d’accroître les chances de financement ».
Selon le directeur de cabinet du ministère des Eaux et Forêts, le Colonel Gouessé Haïdara, le système d’analyse et de financement des projets est devenu très sélectif et requiert des propositions pertinentes répondant aux normes de qualité. D’où la tenue d’une série d’ateliers régionaux (Gabon, Cameroun et Côte d’Ivoire) à l’intention des pays membres producteurs de bois tropicaux.
Il a donc exhorté les participants à accorder une grande attention aux directives qui seront données afin de s’approprier les outils d’élaboration des projets OIBT en vue d’être à mesure de lui soumettre des projets compétitifs, novateurs et respectant les normes de l’organisation.
L’OIBT dont le siège se trouve au Japon, est régie par l’accord international des bois tropicaux conclu sous les auspices de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED). Elle compte, à ce jour, 74 membres qui représentent 95 % du commerce mondial des bois tropicaux et 75 % des forêts tropicales de la planète et finance des projets à hauteur de 100 à 400 millions de FCFA, a précisé son consultant, James Gasana.
fmo/kkp/tm
Il s’agira, pour les organisateurs de cet atelier qui prendra fin vendredi, d’élargir les connaissances générales des participants au sujet des projets de l’OIBT, de les familiariser avec le logiciel ITTO PROTOOL et le système OIBT de suivi en ligne et d’utiliser les outils de la formation pour entamer la formulation de cinq propositions de projets à soumettre à l’organisation internationale, pour inclusion dans ses prochains cycles de projets.
Ce renforcement de capacités, en partenariat avec le ministère ivoirien des Eaux et Forêts, s’inscrit dans l’objectif d’une Côte d’Ivoire émergente dans un contexte de développement durable, avec la nécessité d’« une réelle connaissance des mécanismes de fonctionnement et des spécificités liées à chaque partenaire au développement à l’effet d’accroître les chances de financement ».
Selon le directeur de cabinet du ministère des Eaux et Forêts, le Colonel Gouessé Haïdara, le système d’analyse et de financement des projets est devenu très sélectif et requiert des propositions pertinentes répondant aux normes de qualité. D’où la tenue d’une série d’ateliers régionaux (Gabon, Cameroun et Côte d’Ivoire) à l’intention des pays membres producteurs de bois tropicaux.
Il a donc exhorté les participants à accorder une grande attention aux directives qui seront données afin de s’approprier les outils d’élaboration des projets OIBT en vue d’être à mesure de lui soumettre des projets compétitifs, novateurs et respectant les normes de l’organisation.
L’OIBT dont le siège se trouve au Japon, est régie par l’accord international des bois tropicaux conclu sous les auspices de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED). Elle compte, à ce jour, 74 membres qui représentent 95 % du commerce mondial des bois tropicaux et 75 % des forêts tropicales de la planète et finance des projets à hauteur de 100 à 400 millions de FCFA, a précisé son consultant, James Gasana.
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